mardi 24 novembre 2009

L’INADAPTATION SOCIALE-社会适应不良-Social maladjustment

LA LOGIQUE PRUDENCE VEUT QUE:
Les questions se posent..
Mais que les réponses se supposent !


L'être humain détient un certain pouvoir d'action sur le fonctionnement du vécu terrestre, en grandissant ce dernier échappe à son contrôle.... "Inintelligence" permise ou découlant de la faisabilité informatique, une des déraisons montante est issue de la griserie des esprits qui tendent à ne plus vouloir prendre en compte les possibilités de la faisabilité humaine désynchronisée par l'espace temps / vitesse. Il m'apparaît évident que notre système de valeurs a été pris à contre pied par l'arrivée rapide et massive de la consommation matérielle et « Info fantasmagorique ». Les valeurs en place se sont ainsi trouvées confrontées à une remise en question sauvage, ces réalités coincent l’homme entre son rêve et son vécu d'où découle, pour les plus faibles, des perturbations affectives, psychiques et matérielles de toutes natures qui entraînent et affaiblissent un nombre croissant de personne. Ce système, mode de vie surréaliste, se fie à une forme de réflexion superficielle puisque basée sur des repères artificielles qui crées la dure réalité des servitudes s'y rattachant. Les standards de fonctionnement de la vie humaine se trouvent remis en question de manière brutale voir inhumaine, quand nous ne comprenons plus un phénomène nous le baptisons en l'avalisant ou en le légalisant, c'est le plâtre sur la jambe de bois. Face à l'intolérance des contraintes que ce mode de vie lui impose, pendant que certains individus défoulent dans la violence ou la malversation, des personnes s'adaptant mal à leur quotidien se réfugient dans l'infantilisme outrancier pour échapper à leurs responsabilités. Les accidents, démissions, profits, laxismes ou fainéantises cérébrales, accroissent ces phénomènes réducteurs d’épanouissement et perturbent nos standards de vie communautaire. A situations données, nous ne parlons plus le même langage, chacun face à son vécu immédiat tend à l'aménager au coup par coup, c'est le paradoxe de la "société individualiste". Ce regroupement de personnes acoquinées à l'individualisme est un cocktail paradoxal, une société hybride qui crée en permanence un porte à faux dans lequel nous sommes enfermés. En plaçant l'humanité «le cul entre deux chaises» nous nous sommes « déboussolés » à la manière de gens qui se fixent un rendez-vous collectif, en décidant individuellement, sans concertation préalable, de l'heure et de l'endroit du dit rendez-vous, nous avons là l’exemple d'un certain vécu communautaire qui fait l'incondition dans laquelle chacun passe son temps à attendre ou à chercher l'autre avec les conséquences d'énervements et d'incompréhensions qui en découlent ! Le mode de vie ayant faussé les standards naturels générés par l'instinct, nous nous retrouvons face à l'incompréhension des actes d'autrui, incompréhension créant les pertes de confiance et l'isolement, l'exclusion n'étant qu'une forme de perception ou de sensation de rejet crée par les non-possibilité d'adaptation du fait de repères instables faussant la communication tacite. En conclusion, thème de mon livre, je puis dire que nous nous trouvons dans une zone charnière intense, bascule et conflit de génération, le passage délicat de la génération "Soupe au pain" à la génération Coca-Cola et "Soupes au lait", cette zone met en opposition psychotechnique deux façons de penser, celle des personnes attachées à certaines valeurs de la vie et celle des personnes ultra modernistes. Ce type ultra moderniste est une forme d’excitation surréaliste voir arriviste, il ne permet de visualiser la portée et les conséquences de ses actes, nous sommes projetés dans un conflit de valeurs psychologiques. Il apparaît déjà clairement une rupture de "l'homogénéité humaine" acculant et faisant remonter les extrêmes, matérialisation de l'énergie du désespoir. Par manque du temps que nous ne prenions plus nous avons réduit l’efficacité naturelle de nos instincts qui ont perdu en spontanéité et en sensibilité. Ces déficiences instinctives ont été compensées par une « hyper réactivité » aux limites de l’agressivité à l'égard des autres ! Nous devons reprendre conscience que trop souvent nous engageons des actions par procurations, que ces dernières enlèvent à posteriori le droit d'ingérence directe ou à terme la possibilité de les assumer, l'éducation des enfants en est l'exemple le plus important, fin de la prochaine décennie nous prenons le risque d'une société à trois vitesses ou nous retrouverons 40 % de personnes, en majorité des "petites Gens" qui n’ont put suivre et que le "mouvement" risque de "casser", d’infantiliser ou d’irresponsabiliser. Ces décalages sociaux favorisent la montée de tout une faune d'intellos profiteurs et d’extrémistes qui encrent leurs racines au cœur de l'honnêteté d'autrui ! Cette caste de bas fonds, pour accéder à des jouissances intempestives immorales ou abjectes, pèsera de tout son poids sur le relationnel Hommes/Femmes ! Nous allons vers une société dirigée par une minorité de 20% d’hommes de tête secondés vaille que vaille par 20% « d’une élite sociale » qui fera son mieux pour les aider, ces hommes devront supporter à eux seuls les conséquences de l’assistanat forcené de ces vingt dernières années. Il me semble qu’un point de non-retour ai été franchi, nous entrons dans la phase de l'incompressible, mes craintes seraient de voir cette masse majoritaire, dans les prochaines décennies, créer une forme d'holocauste de la vie psychologique, mes ressentiments, écrits de 1980 et 1982 se confirment malheureusement aujourd'hui. Le découragement provoqué par la visualisation de la détresse psychologique, mon impuissance à pouvoir aider un nombre toujours croissant de personnes "cassées" crée mon propre malaise. Ce mode et ce train de vie engendrent l'incommunication et anile la force du courage des plus faibles, la fameuse exclusion, cheval de bataille que l'on enfourche aujourd'hui avec vingt ans de retard, après avoir perdu la bataille ! La répétition des similitudes négatives, les implications par devoir, l'incompréhension et la fatigue par usure m'ont acculé à la nécessité d'écrire, pour essayer par délégation de toucher, de faire comprendre, et je l'espère aider moralement... Piètre consolation ! J'aimerais dire un mot à tous ceux que la vie dans leur chair à marquer, à ceux et celles qui se battent contre l'adversité qui les a frappés, vers eux va ma pensée plus que jamais je leur dis. .. Persévérez la force de l'esprit peut aider à surmonter les malheurs de la vie, il est pas d’adversité qui résiste dans le temps à une détermination en marche pour la vaincre ! Ne permettez pas à votre tête de toujours se tourner vers le passé, vous feriez comme l'automobiliste qui voudrait conduire en regardant derrière, imaginez-vous à la place des passagers, en l'occurrence vos enfants ou ceux que vous aimez, que lui diriez-vous ? (PhiloGalop 1993)
LES DIEUX SONT TOMBÉS SUR LA TETE EST UNE BELLE MAIS TRISTE MÉTAPHORE REFLET DE NOTRE SOCIÉTÉ "DITE CIVILISÉE"??
J'ai adoré ce film! " Les dieux sont tombés sur la tête " est une sympathique comédie des années 80 . L'histoire se déroule en Afrique . Un pilote d'avion jette une bouteille de coca cola de son avion qui atterrit en plein milieu d'un village Bushmen . Les villageois pense que cette étrange objet est un cadeau des dieux . Mais très vite l'objet en question sème la discorde....
Photo de couverture
La ronde de la vie:
« L'homme fait tourner la roue de la vie, la roue tourne, l’homme pédale »
Implacable mais vrai ! -- Le bien ou le mal-être sont des traductions de la réceptivité individuelle. Perception matérialisant la sensibilité, ponctuelle ou aléatoire de chacun d’entre nous, il en découle un bien ou un mal vécu, deux états qui seront influencés par le magnétisme externe, l'enviro-magnétisme, qui à son tour engendrera le bien ou le mal-être. -- Si l'on peut comprendre l'inacceptation de la maladie et de la mort, comment comprendre la mégalomania morbide et stupide ? La cupidité avide qui s'évertue à contrer les lois universelles ? Tel un peintre qui peint le nez collé sur sa toile, l'homme prend le risque de n'obtenir qu'un piètre résultat, par son impatience et la cupidité du système qu'il a crée, il fausse la loi qui régit l'ensemble et se met ainsi en contrario avec la puissante logique prudence universelle. Passez-moi l'expression, en voulant " péter plus haut qu'il n'a le cul ", l’hinumain s'est enfermé dans son propre système qui l'a conduit à ce jour dans la fracture sociale engendrée par l'inégalité. En bafouant le code de l'honneur, ce protagoniste, orgueilleux jouisseur envieux et jaloux, met un point final à la charte du devoir universel et de la simplicité ! L’homme commence ainsi à voir poindre sur l'humanité tout entière l'ampleur de son erreur qu'il essaye de rectifier à coup d'utopie de social ! Utopie qui équivaut à laisser mordre la main qui donne à manger, logique fatale puisque par besoin de valorisation, regard inconscient qu'il porte sur lui-même ! (PhiloGalop1992)
L'HOMME AUSSI DOIT SE BATTRE POUR GAGNER CE QU'IL A !

Par son "intelligence" l'être humain détient un certain pouvoir d'action sur le fonctionnement du vécu terrestre, en grandissant ce dernier échappe à son contrôle, tout au long de cet ouvrage je vais essayer d'analyser le phénomène, les répercussions qu'il engendre sur notre vie quotidienne et le risque qu'il fait peser sur notre proche avenir. Il apparaît clairement une rupture de "l'homogénéité humaine" se traduisant par l'amoindrissement de nos instincts naturels, engendrant la perte de la spontanéité et d'une réelle sensibilité à l'égard de nos semblables. Il faut reprendre conscience que trop souvent nous engageons des actions différées ou par procuration et ne pas oublier qu'à terme ces dernières ne nous donnent pas la possibilité de les assumer pleinement ou nous enlève le droit d'ingérence directe, l'éducation des enfants en est l'exemple le plus important. Si l'humain par sa forme "d'intelligence" a la faculté de développer des logiques mathématiques à son échelle, la vie se doit de développer des logiques prudences que l'homme peut de moins en moins paramétrer dans ses calculs. Comme un œil que l'on aurait placé à la pointe du sommet d'un cône pourrait visualiser l'ensemble de sa base circulaire, la vie peut observer le mouvement universelle, cette vision ne peut être qu'objective pour un bon fonctionnement et la cohérence du système global, elle se doit être glaciale pour pouvoir traiter à froid les servitudes et devoirs qu'impose ce fonctionnement, comme le phare qui éclaire la route, la vie peut analyser le contexte général, ce fait lui octroie la possibilité et le pouvoir de rééquilibrage de l'ensemble. Bon et Bête commence par la même lettre, c'est la similitude qu'il peut y avoir entre la tolérance envers l'erreur et l'avalisation de celle-ci. Si l'erreur peut-être acceptable en tant que normalité du vécu, l'avalisation tacite de cette dernière devient du laxisme ou de la négligence, sa répétition est une faute préjudiciable à la qualité de la vie. On peut considérer qu'un enfant, jetant des pierres à ses camarades au risque de les blesser, commet une erreur, un adulte témoin passif de cet état de choses, commet une faute permettant la récidive ou l'extension de l'erreur. Quand l'animal sort de son milieu, c'est un accident ou un impératif de survie, quand l'homme sort du sien, c'est souvent par plaisir ou jouissance. L'intelligence est une composante fondamentale de la vie, elle est adaptée spécifiquement à chaque espèce, le Q.I humain n'en sera jamais qu'un sous-produit inventé de toutes pièces par la mégalomanie humaine qui veut tout soumettre à des cotas à sa mesure, ce prédateur de la vie universelle veut tout contrôler pour mieux dominer, Meur le Petit’d’Homme quand comprendras-tu que la vie ne se mesure pas en décimales mais en croche double croche et clé de sol, que c'est la mélodie qui berce le vécu terrestre. Le perfectionnisme prend naissance et corps dans la matière et le vécu, le Q.I n’en serait que la mesure humaine, la vie est une universalité non mesurable qui fait ses mutations par, et sur elle-même. En prenant forme dans l'immatériel, l'intelligence serait directement issue de la pureté de la vie, elle permet le bon fonctionnement des institutions engendrant le vécu universel, sans l'intelligence nous ne pourrions déterminer de Q.I, ce dernier n'étant que la mesure d'une forme d'intelligence artificielle humaine. L'intelligence est une entité universelle, le Q.I la mesure relative d'une subdivision que l'homme a voulut faire pour lui-même de celle-ci. Les dérives et la perversion individuelle font l'impuissance des états, au regard de la vie il n'existe de "Jaunes de Rouges de Noirs ou de Blancs ", les Petits les Grands les Gros les Maigres les Boiteux les Cons ne sont issus que des regards malsains qui les observent en les faisant exister. ces petites gens dont l'innocence devrait être force d'exemple pour cette catégorie montante se prenant pour des nombrils du monde, les "Bœufs" sont trop souvent, par rapport aux valeurs, des Ânes... L'Intelligence : Liée à l'âme, à l'état pure elle se sert des instincts au service des "Besoins de la vie*. L'éducation peut en dévier l'axe en se servant de la réflexion qui est une mesure perceptible de la faculté de gestion et d'analyses des données mémoires, la réflexion permet la coordination indispensable à la matérialisation de la pensée, les synthèses les plus proches des réalités détermineront le qualité de celle-ci, quant aux réalités, si elles sont des vérités relatives au moment présent, elles ne le sont pas forcément dans l'absolu. Une chose semble évidente, la réalité ponctuelle serait l'élément le plus proche de la vérité du moment. L'Instruction : Est un élément servant à l'éduc'action, c'est un apport en capacité mémoire, l'éduc'action sert à l'apprentissage de la bonne gestion de cette dernière dans des contextes imposés par le vécu, la différence entre l'éduc'action et l'éducation transparaît dans la manière d'être et de se comporter dans son vécu quotidien, l'éducation extériorise l'intelligence au travers du savoir-vivre et laisser vivre. La "Règle de l'Inversion* est déterminée par le dépassement du seuil d'incompressibilité ou d'extensibilité de la tolérance, créant une réaction, les "Bioréflex* en sont les sursauts de survie, "Instincts biologiques de préservation* se substituant aux "Reflex Inculqués*, de part leur puissance ils permettent le renversement des forces énergétiques. Tout comme l'épine est faite pour protéger la rose, la dignité est faite pour protéger la vie. L'impuissance est une incapacité de réaction face à son "Malvécu* ce peut aussi être un refus de son incondition profonde provocant dans l'extrême, par protection, la négation de son "Etre" face au processus suprême, l'autodestruction, solution extrême, celle-ci étant la route du retour vers le point zéro, vers la tranquillité parfaite du vécu ayant vécu. La finalité de l'homme ne serait-elle pas la communion de son âme avec lui-même, la fusion de l'être et du paraître ne formant plus qu'un, le parfait... La mort ? (PhiloGalop1990)
L'IMPUISSANCE GÉNÈRE T'ELLE LA VIOLENCE ?

MON ÉNORME COUP DE GUEULE: 
PhiloGalop déc 2015
En France nous ne pouvons plus «appeler un chat un chat» sans être accusés de racisme, d’antisémitisme, d’islamophobie ou d’homophobie.... Ça devient un chantage immoral générant les phobies sociales légitimes!! Une question se pose haut et fort aujourd’hui: Les crèches de Noël, tacitement, depuis des lustres, sont tombées dans le domaine laïque de notre patrimoine culturel affectif ! A t’on le droit de nous demander au nom de je ne sais qu’elle croyance intolérante et occulte de les interdire!! Demain devront-nous aussi déba’tiser nos enfants car leurs noms ne correspondront plus au con’sonnances ambiantes?? Sans ouverture d’esprit, sans civisme et respect du savoir vivre en société laïque tolérante.. Quel avenir pour la vie future?? Aujourd’hui vous tremblez tous devant le FN qui vient de vous donner une leçon, à vous d’en tirer les conséquences... Alors halte au laxisme ou au clientélisme d’état et aux magouillages politi’chiens de tous poils dont nous sommes toujours les victimes!! DE LA CLARTÉ ET DE L’ HONNÊTÉ S.V.P! 

RACINES DE LA VIOLENCE: Contrairement à une idée communément admise, bien souvent la violence n’est pas directement liée, ni à l’injustice, ni à la blessure, ni à la frustration, mais à l’impuissance à gérer ses affects devant ces situations difficiles, à exprimer ses besoins et à recevoir satisfaction. La distinction est d’importance car c’est à ce moment que l’IMPUISSANCE POUSSE A LA VIOLENCE! Quand les émotions ressenties à l’occasion de la blessure, de l’injustice ou de la frustration sont exprimées et entendues, la personne qui les subit peut restaurer son intégrité. La violence n’est pas la colère, elle est l’échec de la colère. Quand on n’a pas la possibilité de s’affirmer, d’être entendu, de résoudre un problème, on se sent impuissant et de plus en plus dépendant d’autrui, alors à la douleur s’ajoute le ressentiment de TROP DE BESOINS VITAUX NON SATISFAITS, mais surtout l’absence de pouvoir réel sur sa vie, tout cela contribue au lit de la violence. La haine est une accumulation de sentiments d’injustices, de détresses, de frustrations qui n’ont pas su trouver d’issue. (Inspiré d'un article trouvé et corrigé par mes soins (2014) 
«Ne pas conFondre, compassion et conPassions.»
PhiloGalop oct 2015
--------------L'homosaperlipopette---------------
L'Homme animal sophistiqué crée les machines et les techniques pour son bien être, mais finit toujours par s'en servir pour s'autodétruire ? L'homme ce «Monsieur plus» qui n'obtient comme résultats que toujours "plus de moins " ! L'homme cette bête à détruire l'humain, l'homme animal féroce qui prône la vie. .. En semant la mort au nom de cette dernière ! L'homme prédateur humain a un ennemi invincible et invisible qui régule l'espèce humaine. .. L'homme ! (PhiloGalop1993)
-------------------Le magnétisme-------------------
« L'INTELLIGENCE EST UN CLIMAT DE RELATION AVEC L'ENSEMBLE »
Raport sur une fracture cérébrale -- Force nous est de constater, en cette fin de vingtième siècle, que quelque chose dans notre vécu ne semble plus "tourner rond", les médias se mobilisent doucement, toutes les questions semblent aujourd'hui vouloir réponses, le malaise gagne, l'incompréhension aussi ! Normal ! nous avons tout fait pour cela, ces vingt dernières années nous avons mis la charrue avant les bœufs, l'amour, vraie valeur et valeur guide, s'est fait tanner le cuir au profit de franfreluchettes amoureuses. L'amour en temps qu'entité immatérielle est un besoin fondamental, cette intensité magnétique régissant l'énergie de notre fonctionnement ne se matérialisant plus correctement engendre une carence énergétique, cette carence en "flottant" dans l'atmosphère de notre vécu, crée des surtensions qui par contre coup crées une déficience des valeurs amoureuses qui se trouvent à leur tour confrontées à un «pseudo amour» qui lui n'est qu'un amour très souvent fallacieux, un palliatif artificiel inventé de toute pièce par le mal être régnant dans ce domaine, ces dernières années l'homme a inconsciemment fait des palliatifs sa raison d'être érigeant ainsi une barrière quasi insurmontable pour une minorité grandissante ? PhiloGalop 1992
LA OU L'ARGENT PREND LE POUVOIR, LA VIE SE MEURT ! 
-----------------Le cri de ma colère !--------------
«Un homme à petit esprit est comme l’œuf pourri dans sa coquille»
J'ai pris la plume parce que je suis en colère, je suis en colère parce que l'on mélange tout. Je suis en colère parce qu'un des fléaux de la pensée contemporaine est le raisonnement par le manque et non par l’acquis. Je suis en colère parce que l’on a perdu le sens du devoir et de la philanthropie. Je suis en colère parce que la loi des hommes aurait put ne rester qu’un garde fou du respect de la vie. Je suis en colère parce qu’il n’y a que le raisonnable qui puisse être l'assurance vie de la qualité du vécu. Je suis en colère parce que l’on a érigé un mur de l'incompréhension. Je suis en colère parce qu’on a banalisé la honte. Je suis en colère parce que l’on met une étiquette pour cacher et faire oublier ce qui gêne. Je suis en colère parce que l’on veut nous faire gober des étiquettes sans donner la marchandise. Je suis en colère parce que trop de gens par facilité bouffe de l’étiquette. Je suis en colère parce que l’on à mis un train pour en cacher un autre qui nous roule dessus. Je suis en colère parce que l’on a passé le seuil de décrochage, dans la pensée profonde, entre le besoin de revalorisation affective et la possibilité de concrétisation de son manque. Je suis en colère parce que l'on ne sait plus conjuguer le verbe aimer. Je suis en colère parce que l’on confond amour et arrière-train. Je suis en colère parce que l’on mélange vélo et pédale sans distinction. Je suis en colère parce que l’on ne sait plus faire la différence entre une tarte à la crème... et une crème de tarte. Je suis en colère parce que l'Amour est multidimensionnel et qu'il doit rester une entité universelle. Je suis en colère parce que l'on a plus la reconnaissance du ventre. Je suis en colère parce qu'une certaine mode fait que l'on mordra la main qui a donné à manger. Je suis en colère parce qu'il faut se battre pour le bien-être d'autrui malgré lui. Je suis en colère parce que l'endoctrinement médiatique génère l'individualisme qui crée les grandes solitudes. Je suis en colère parce que se sont les grandes solitudes qui font les grandes détresses. Je suis en colère parce que les grandes détresses servent aux grands et petits profits. Je suis en colère parce que l’homme s’est laissé normalisé par les profits. Je suis en colère parce que les profits intronisent "l'incommunication" protectrice qui détruit l'harmonie communautaire. Je suis en colère parce qu'on installe les fantasmes en maître au cœur du fonctionnement humain. Je suis en colère parce que se sont les fantasmes qui délient l’aliénation psychique du manque. Je suis en colère parce que c'est la spirale de la démesure qui engendre l’incohérence et l'intolérance. Je suis en colère parce que l’homme devient une bête à détruire l’humain. Je suis en colère parce que l'Amour doit fonctionner sur une intensité philanthropique. Et enfin je suis en colère parce que l'on a greffé sur le poumon de la vie les deux mamelles nourricières, de la précarité sociale, du mutisme, de l'agressivité, des violences et des solitudes profondes. (PhiloGalop 2002)
---------------------L’écorché vif--------------------
L'heure de la dérision
Etre ou paraître ? Il faut choisir !
C’est le moment tant attendu ou je vais pouvoir laisser libre cours à plus de vingt ans de ras le bol silencieux, de colères intestines, l'heure de recracher toute cette verve refoulée pour préserver les autres. Plus de vingt années à fermer ma gueule pour arranger les choses, plus de vingt ans à m'entendre dire que je suis gentil, plus de vingt ans à assumer en silence pour aider, comprendre, aimer, rester serviable et souriant, j'en passe et des meilleures ! Mon but n'étant pas de me gargariser les yeux de l'esprit mais de hurler l’y'en a marre d'occuper et de tenir une position d'agissant subissant.. D’actionneur actionné, d'être une forme de garde chiourme sans pouvoirs, de prendre des coups dans la gueule pour essayer de maintenir, bon gré malgré les choses de la vie à une place décente qui devrait être la leur ! Il ne fallait pas toucher à ma tranquillité, j'adorais vivre et laisser vivre, mais voilà ça ne convient plus.. Alors tant pis, je vais faire la grande lessive l'auto psychanalyse qui va me permettre de nettoyer ce qui me pollue le cerveau depuis tant d'années. Toute ma vie j'ai essayé d'être diplomate et compréhensif, je me rends compte que ce qui était encore valable il y a une vingtaine d'années ne l'est plus aujourd'hui. La diplomatie est devenue terre de prédilection pour toute une faune qui l'exploite à des fins égoïstes et vénales, c'est pourquoi, pour que l'on ne puisse confondre, je vais m'exprimer avec le langage approprié à la situation ! Ames sensibles, pudiques ou coincées attention, ce n’est pas pour vous, évitez ce chat’pître. J’ai décidé de tailler dans le vif avec les mots et les maux de la rue car je suis en colère de subir dans mon " privé " la réplique, relève de mon professionnel. Plus le droit aux vacances psychologique partout ou vous tournez les yeux, la toile de fond de votre vie, jadis en satin, est devenue une vulgaire toile de jute, une peau de chagrin ! Accrochez vos ceintures renforcez vos esprits, passer la vitesse supérieure, "serrez les fesses" garez vos plumes ou sautez ce chapitre, vous allez savoir ce qu'est un gentil qui en a marre de l'être ! Ne dit-on pas que les gentils peuvent devenir les plus méchants ou "Gentil n'a qu'un œil", j'espère dans mon cas que ce ne sera pas le mauvais. Je vais "traiter" si vous préférez "sulfater" sur les chapeaux de roues, défouler en "cassant de la connerie" attention les dents ! C’est fou c'que ça fait du bien, de surcroît ça ne mange pas de pain et ça peut aider ! J’espère que cette forme de dialectique vous amusera en vous ouvrant les yeux ? Tant mieux car si tel est le cas vous allez en "avoir pour votre poignons". Par écrits interposés j'en profite pour m'adresser "aux culs pincés" arrivistes et collets montés de tous acabits, à tous ces «Monsieur Plus» et «Monsieur Ducon» qui veulent péter plus haut qu'ils ont le Q, qui écrasent volontiers plus faibles qu'eux pour se valoriser ! -/- J'aurais aimé être une mouche pour pouvoir voir l'allure de ces prétentieux dans ces moments ou, courante au ventre, ils essayent de s'en sortir comme ils peuvent pour ne pas faire dans leurs brailles. Je dois avouer qu'en écrivant ces lignes, un flach m’est apparu, j'ai fantasmé un de ces magnats de la mégalomanie -- Au moment précis ou, faisant sa "brillante" prestation, "Meur Ducon", le petit doigt levé est en train de vous expliquer que vous êtes "un con" mais que vous ne le savez pas, que de toute manière vous ne pouviez pas comprendre, et que, fort heureusement il était là pour vous expliquer la chose... Paf ! A ce moment précis v'la l'bouchon qui saute... Le sinistre qui se déclenche ! (je suis mort de rire) avouez que même de l'imaginer y a d’quoi se marrer. Ca ! Ce serait une justice divine pour leur remettre les pieds sur terre, pour une fois ce ne serait pas les autres... Qu'ils auraient mis dans la merde ! Ni leurs grandes gueules, ni leurs belles bagnoles, ni leurs costards cravates, ne pourraient arrêter la déferlante si elle décidait d'arriver de manière impromptue ! Il faudrait à ce moment là un miroir à "cons" pour leur faire réaliser que face aux éléments naturels nous sommes tous égaux. Il serait bon que ce type de phénomènes naturels se déclenchent plus souvent pour leur rabaisser le caquet ! Je ne veux pas être méchant, mais n’es-ce pas ce type d’individus, qui, profitant qu'on ne les voie pas, sème hypocritement la merde et qui en foutent de partout. .. Sauf chez eux ! Ces lignes sont dirigées à l’encontre de ces gens qui se prennent pour des nombrils du monde, alors, pour une fois s'il en est, ils pourront bien me supporter, de toute façon c'est un libre choix qu'ils ont, ils ne sont pas imposés de lecture ! A l'inverse trop souvent leur présence m'est imposée, si eux peuvent tourner la page, je ne puis les tourner eux, ce n'est pas l'envie ni la volonté qui me manque ! Le civisme et le respect m’enlève le pouvoir de décision ! Malheureusement face à ces limaces, je suis trop souvent obliger de prendre mes jambes à mon cou pour ne pas devenir méchant ! Dans mes écrits le pouvoir de décision n'appartient qu'à moi seul. Na ! C’est ça la liberté ! Je vais quand même essayer d'être gentil deux minutes en soulignant mon admiration pour ces personnes ayant "socialement" réussi, en restant humble et honête, à élever leur position sociale. Par contraste je dénonce ces gens qui se sont hissés à la force des poignets, et qui un jour, le fric aidant, sont devenus des parvenus grotesques qui ont oublié leur origine en méprisant leurs semblables. Je pense également à ces malheureux parachutés n'ayant comme force mentale que les quelques billets qui traînent dans leurs esprits miséreux, billets qu’ils ont hérités en dormant, et dont ils se servent pour en foutre plein leurs vues pour remplir une case malheureusement laissée vacante par une éducation à l’eau de rose. (1994)

-----------------La vision de l’aigle----------------
Si j'ai choisit la vision de l'aigle c'est parce qu'elle matérialise au mieux mon concept de la vie, comme elle, l'aigle dans le ciel est majestueux, inaccessible et porté par le vent, de surcroît sa vue perçante lui permet de tout visualiser de haut avec précision, sans implications possibles. Poussé par les "coups" reçus, très jeune j'ai hérité d'une certaine acuité de regard sur la vie et le vécu. Avec courage et détermination, par un travail sur ma façon de penser, à l'école de la vie et de la solitude, je crois avoir acquit un petit niveau de sagesse et de maîtrise, c'est celui-ci que j'aimerais vous "faire passer". Ce palier de sagesse permet, "par projection", de s'élever pour sortir des contextes et visualiser ceux-ci d'une manière plus objective, c'est ce que j'appelle accéder à la pensée supérieure, non pas que vous soyez devenu meilleur que les autres, ce n'est qu'une façon de voir les choses différemment. Pourquoi un livre ? Oh ! C'est très simple il est en lui-même la réponse, de plus j'étais désireux de laisser une trace de mon passage pour ne pas rester sur un sentiment d’inutilité. Quand vous avez la sensation de n'avoir put accomplir votre vie ou de ne pouvoir la vivre pleinement, il y a de quoi se poser une question.. Pourquoi ? C'est ce que j'ai fait toute ma vie, c'est ce que ce livre essaye de retranscrire en mettant l'accent sur cet ensemble de choses "gratuites" qui alourdissent l'addition, finissant par vous écœurer et vous donner l’impression de porter votre vécu comme un fardeau, à bout de bras. Je ne soulignerais jamais assez le rôle de l'éducation car elle s'avère capitale pour le fonctionnement et le maintien de l'équilibre. Fort heureusement mon éducation m'avait appris à gérer correctement mes besoins, en me permettant, si nécessité obligeait, de les limiter à l'utilitaire, de ce fait je n'ai eu à souffrir des carences matérielles. Quant elle est générée par un être frileux, la gestion interne et externe de la vie est compliquée et fait appel à moult palliatifs, futiles dérisions énergiquement coûteuses en tout point. Les facilités matérielles apportées par notre système ont amoindri l'acuité de conscience des réalités dures de la vie et ont de ce fait désarmé des enfants mal préparés face à ces réalités. Mauvais service rendu aux nécessiteux, l’assistanat « non-encadré », mis en place ces vingt dernières années anile ou sert de substitut à la combativité des plus faibles. Pour un adulte dit miséreux, l’assistanat « hors cadre » est un poignard planté dans le dos ! Un assistanat forcené agit sur la nature humaine de la même manière que sur les animaux sauvages élevés en captivité, en altérant leurs capacités de réflexes génétique, l’assistance humaine affaiblit instinctivement ces animaux qui seraient en danger dans leur environnement initial. Pour ne pas les envoyer à court terme à une mort certaine, l’homme en connaissance de cause, ne peut relâcher ces animaux sans avoir pris les précautions visant à leur rééducation. L’exemple animal précité nous transporte vers nos enfants, si nous ne prenons pas le temps nécessaire à la réflexion sur la manière la plus approprié pour leur permettre de se forger une personnalité et un caractère adéquat pour évoluer dans la société, nous prenons le risque de les projeter à terme dans une forme de suicide psychique ! L'alcool et la drogue en sont les ingrédients les plus frappant, ils servent de fuite et d'anesthésiant pour conter l’inadaptation sociale bien souvent engendrée par l’inadéquation de l’éducation de base. (1993)
Hégémonie du crapaud bœuf

« L’orgueilleux et sa mégalomanie »
Quand l'orgueilleux frappe, la stérilité de ses phrases est issue d’une culture de gens qui en manque et ce sont autant de "maux" d'Amour semés à tous vents et à tout va. L'âne, le bœuf et l'Imbécile (1993). La différence entre l'âne et l'imbécile est que l'imbécile essayera toujours d'apprendre en apprenant peu, l'âne lui, en apprenant un peu croira tout savoir et voudra aussitôt donner la leçon, le pire pour lui est ce jour ou, pensant qu'il est devenu intelligent, il refuse d'apprendre, l'âne est un mangeur de "sons" qui n'écoute jamais la musique ! L’orgueilleux est un bœuf, dès qu’il entend la musique, sans rien savoir, il s'empresse de prendre la baguette pour faire le chef d'orchestre. Il n'est que les ânes pour fréquenter l'école des bœufs.. . « Lorsque l'on fait toucher du doigt les réalités aux bœufs, les bœufs mordent le doigt ». Qui mieux que les autres pour parler de soi, la gloriole est le fantasme des orgueilleux qui se l'invente, à l'inverse la gloire finit par se subir. L'orgueil est comme le feu et la jalousie est pareille au vent, si l'on veut arrêter le feu de l’orgueilleux, il faut empêcher le vent de la jalousie de souffler car il balaye les paroles du sage ! Les orgueilleux ne sont bien souvent que des prétentieux qui puisent leur énergie en volant celle des autres, ils exploitent la règle du bénéfice du doute qu’ils entretiennent savamment, tout comme les lâches, pour aliéner les gens honnêtes, ouvrant ainsi, par effet ricochet, un dévoyage qui gangrènera l'honnêteté là où il se fera. En créant un climat malsain l’orgueilleux ou le jaloux détruit la qualité du climat psychologique qu'il a indirectement contaminé. Le principal atout du palet ricochant étant les surfaces d'appui permettant les rebonds menant à sa cible, à quel niveau se situe la faute ? A celui qui démarre l'action ou au niveau de ceux qui permettront qu'elle se perpétue ? L'orgueilleux et le lâche agissent comme le vers dans le fruit, ils divisent pour régner..... Grandit par leur paraître, la gloriole d'eux-mêmes et la stupidité des autres, les orgueilleux sont les seuls êtres vivants que le ridicule ne défrise pas puisqu'il est leur apanage. L’orgueilleux pense en permanence détenir la science infuse et la vérité, c’est un "ignorant né", une petite personne qui se rêve grande, les orgueilleux n'ont d'égal que leur mégalomanie chronique qui s'avère être le reflet de leurs âneries et de l’étroitesse d'esprit qui ne permet pas d'assumer le minimum de respect dut à tout un chacun, à commencer par celui qui leur est propre, par des moyens plus que douteux, ils sont perpétuellement en quête de petites gens honnêtes ou « cons » pour faire avaliser la gloriole qu'ils s'inventent ? (Christian 1992) Aux indécents, les mains pleines -- La connerie humaine fait que trop souvent ceux qui ne "font rien" soient bénis. Que ceux qui agissent finissent par être maudits ! Ces pamphlets peuvent être la démonstration de ce que j'appelle la connerie emballage deux mille, notre malaise communautaire, mon mal de vivre... Il est vrai que je suis un primate inadapté... ça doit être le climat ?
--------------Une certaine démagogie------------
Dans les années quatre vingt nous avons crée une société à trois vitesses, de tous temps nous avions les riches et les pauvres respectant vaille que vaille leur position. Logique des extrêmes qui permettait par fusion progressive d'obtenir un juste milieu, notre système "d'équivaleurs" a construit artificiellement une troisième couche sociale. Les parvenus se sont interposés en délimitant leur "territoire" par deux frontières de l'absurde, celles-ci on agit comme des murs psychologiquement infranchissables. La classe moyenne nouvelle est née en englobant ces parvenus de toutes natures sécurisés par leur position. Nouvelle classe, "le juste trop pour ne pas en avoir assez", enviant les riches, cette caste ne supportent plus de ne pouvoir faire comme eux ! L’argent appelant l’argent, par fait de hiérarchisation, nous avons donné à feu les riches, la possibilité de s'enrichir bien plus encore. Les déraisons hors normes du raisonnable, à fait par contre coup, baisser le seuil de tolérance des plus démunis. Ces nouveaux pauvres, par instinct de survie, se raccroche à la couche qu'il sent à sa portée, la couche moyenne. A son tour, se protégeant derrière un mur d'hypocrisies et d'indifférences, la couche moyenne à réagit comme feu les riches ! La boucle est bouclée, nous sommes au cœur de la société à trois vitesses divisée par le néant de la solitude individuelle ! Isolement construit de toutes pièces par la cupidité et exploitée par "la communica’cons". Ces nouveaux médias, fossoyeur de l’amour vrai, se repaissent en exploitant les théories freudiennes, théories qu'ils entretiennent savamment dans la fracture sociale ou ils se repaissent ! Ces médias’tiques de l’humanité creusent, un peu plus de jour en jour, le fossé qu’il entretiennent en intronisant sournoisement le diviser pour régner. Ces rapaces sans vergogne, exploitent la pureté infantile pour infléchir les adultes affaiblis par un mode de vie poussé aux limites des capacités moyennes. Nous entrons dans l’ère du "crapaud bœuf" ou la deux chevaux insidieusement équipée d'un moteur de Ferrari, dans ces conditions ne soyons pas surpris d'y perdre les boulons..... Ou son Latin ! (1996).
L’ère du superficiel
« Un air entre deux airs »
Possible ou absurde ? Le déficit d’Amour a érigé une barrière quasi insurmontable pour une minorité grandissante ! Pour quelles raisons pensez-vous que les objets anciens émanent quelque chose, on ne sait toujours pas exactement ce que cela peut-être, des chercheurs font des études à ce sujet, essayant de traduire les vibrations propagées par ces objets ? Ne serait-ce tout simplement qu’une forme de magnétisation particulière transmise par la main et l’amour de ou des hommes qui les ont fabriqués, ces derniers leurs ont ils donné une âme ? A l'inverse notre époque, ne modelant plus la majeure partie des choses qui font notre quotidien, briserait la chaîne patrimoine et héritage de la propagation des ondes magnétiques dont nous avons besoin, ce fait ne créerait-il pas un manque par affaiblissement de la potentialité magnétique amoureuse tacitement recyclable ? L’addition de ceci et cela pourrait nous conduire par usure à une misère psychologique et humanitaire, il me semble que l'avenir du 21ème siècle sera entre les mains d'une vague montante de philosophes et psychothérapeutes qui devront probablement faire une remise en état des esprits pour permettre la restauration de la «communication vraie» qui seule pourra reconstruire l'homogénéité humaine par le biais de l’assainissement des esprits. Nous avons perdu bien trop de temps, le point de non-retour n'est il pas déjà dépassé? Combien de temps il faudra pour que les êtres se retrouvent en eux vingt ans ? Trente ans ? Peut-être est-ce une vue pessimiste, je le souhaite de tout cœur ? Je crains qu'il ne nous faille passer par un stade ou tout sera sévèrement réglementé et soumis à cotât, une forme de semi-dictature d’état visant à protéger l'homme de lui-même, l'Amérique en avance pourrait imploser par auto suffocation psychique dans les années deux mille quinze ? Entrerons-nous dans une phase d’holocauste psychotechnique, tribut et retard à payer à la vie, qu'avons nous légué à nos enfants ? La société contemporaine fait que la vie devient une vulgaire chose qui se négocie en dollars, au kilo ou aux centimètres, une telle société ne peut générer que plus de complexés qui engendrent plus de grandes solitudes du lendemain. Au regard de la vie, notre société fabrique t’elle des gens plus intéressés qu'intéressants ? (1993)
ENFANTS / THEORIES FREUDIENNES
-----------------Enfance frustrée ?----------------
Exorcise ou mission ? J’ai passé trente ans de ma vie dans l’intrigue du fonctionnement d'autrui ? Faute de n'avoir put bien comprendre ce qui m'apparaissait des bizarreries compliquées, pour pouvoir faire des co-relations objectives, depuis trois ans, j'ai décidé de faire mon auto'psy cérébrale. Cette auto’psy à pour but de découvrir et faire ressortir certains fonctionnements atypiques ou apparemment anormaux. Dans les chapitres suivants je m'efforcerais de transmettre le résultat issu de ces investigations cérébrales. Pour une meilleure compréhension du cœur de mon livre, je dois lever le voile étouffant le cri de l’enfant que je fus. Je dois publier certains textes pour vous faire toucher du doigt le cœur d’une « hyper sensibilité masochiste » qui peut être crée par un « accident » sur le parcours affectif infantile ? Ecrire aujourd’hui était devenu vital pour mon rééquilibrage. .. Il me fallait faire d’une pierre deux coups -- Il fallait que j’exorcise ce masochisme dictateur ! Il fallait attirer l’attention sur certains phénomènes contemporains graves à ce sujet ! Parfois je cherche d’autres explications à ces textes et je me pose ces questions – Mon hyper sensibilité masochiste a t’elle son fondement dans le fait qu'avec un esprit philosophe, j'ai été, par accident, projeté dans le matérialisme ? -- Est-ce tout simplement la voie divine que je devais suivre pour remplir ma mission terrestre ? -- Suis-je une des mailles qui doit, par inacceptation, véhiculer des idées ou dénoncer des retransmissions négatives ? -- Est-ce le fruit de mon imagination ? Est-ce le résultat de l’impuissance à concrétiser une idée utopique de social ? Pour conclure ! Il m’apparaît évident que cette démarche est une façon d’exorciser un malêtre qui trouverait ses origines dans une carence affective lié à l'enfance ! – Les « enfants de la malchance » finissent par donner leur manque avant même de l’avoir comblé ? Finalement c’est là où je veux en venir !
« L'enfance frustrée est une blessure de l'âme qui se referme sans jamais cicatriser »
Allant de déceptions en dérisions j'ai passé ma vie à donner de l'amour pour en "recevoir" et essayer de comprendre ce phénomène pour l'exorciser. Les textes suivants sont la matérialisation d’une empathie hyper excessive ayant été la cause de mes souffrances. Ils sont un témoignage, traduction des assimilations, de la reconnaissance et de la projection dans le "Mal Vécu" ( MV ) de trop d'enfants ou adultes ayant un malaise similaire. Tous les enfants ne peuvent suffisamment comprendre leur mal être pour l'expliquer et s'en défendre ! Pour ma part, à mon échelle, j’aimerais contribuer à briser la chaîne infernale de la "Transmission Négative" ( TN ). Grâce à l'exemple à la force et à la sagesse de l'éduc'action de Maman, j'ai toujours put tant bien que mal surmonter une telle carence affective ! Ayant amélioré ma maîtrise dans ce domaine, je me devais d’essayer de faire comprendre cet état de choses. Pour tous ces enfants qui souffrent je devais exploiter "cette chance" pour mettre des handicaps infantiles à jour. Avec deux et vingt ans de recul, au travers mon auto'psy et l’analyse de textes personnels, je tenais à souligner l’importance et les conséquences de certaines actions ou inactions apparement bénines. Ces textes etréflexions ont été révélateurs des conséquences ponctuelles de trente ans de prison purgées par mon âme. C’est pour cette raison que je tenais à faire toucher du doigt l'importance que revêt l'impact d’une carence, d’une malveillance ou d'une rupture " au niveau du Circuit Affectif " ( CA ). --- Inconsciemment, tout au long de la maturité et de l’âge adulte, l'être va culpabiliser pour les fautes, vices ou lacunes, commises pendant la "Période EducoProgrammatrice" ( PEP ). Comme pour laver une injure une faite à son âme, le cerveau par "Auto Flagellation Psychique", ( AFP ) voudra la purifier pour enlever toutes traces de ce qu'il considérait alors comme des dérisions ou des souillures. Nous pouvons encore faire quelque chose pour des enfants qui ne seraient qu'à l'état de victimes potentielles ! ---- Pour éviter l’amalgame je tiens à préciser que j'ai quitté les "jupons de ma maman" à l’âge de 17 ans, qu'au minimum 500km nous ont toujours séparés, que notre relationnel ne s'est limité en moyenne qu’à quelques jours tous les trois ans et pour clore le chapitre, nous sommes en très bon terme. Quand on veut, on peut ! Les enfants, autre que les excuses de l'impuissance de ci ou de ça, c'est de l'Amour véritable qu'ils ont besoin ! Ils veulent de la compréhension vraie, pas des grimaces, par la compréhension tacitement vous donner de l'Amour, l'Amour pour un enfant n'est pas la traduction de tout lui céder, un enfant sait reconnaître ce qui est juste ! Pour pouvoir lui expliquer et lui faire assimiler le pourquoi et le comment de certaines de ses erreurs fondamentales il faut se mettre en capacité de sévir quand il le faut et au moment ou il le faut. Entendez-vous ou reconnaissez vous leur "Mal être" au milieu de vos turpitudes et aux travers de leurs turbulences ? Quand on est parents il est excusable de pêcher par incompréhension voire par ignorance ou par précarité du moment ! Mais il serait criminelle de fauter par négligence, laxisme, mégalomanie ou causes de soucis affectifs personnel ! Quand on veut être parents il faut assumer ou ne pas l’être, pour cause de risque de retransmission négative, telle a été ma résolution ! Certains bruits infantiles spécifiques passent inaperçus ou sont mal acceptés, se sont bien souvent la traduction d’un malaise, la voix d’une enfance frustrée qui se fait entendre ! Apprenez à prendre le temps pour investir dans la réflexion objective que les enfants ont besoin que vous fassiez pour eux. Ils ne vous avaient rien demandé, vous avez devoir de les assumer, et nuances, ne pas confondre l’éducation et l'éduc’action, l'éduc'action se traduit par l'exemple et les explications de l’exemple ! L’action d’éduquer est une suite tacite ou tactique d'instructions données, par les actes ou oralement, avec pour but de permettre l'assimilation des valeurs civiques de la société. L'éducation n'est qu’un développement logique, une résultante de l'effet qui suit l’action d’éduquer. L’éducation est mise en lumière par la façon de vivre et le vécu sera la récompense ou la sanction de cette dernière de cette éducation ! Quand vous éduquez les explications ne doivent pas sembler être des justifications, dans certains domaines vous n’avez pas de comptes à leur rendre, eux oui ! Aujourd'hui, inconsciemment ou sciemment, on donnera par facilité une éducation en correspondance au mode de vie, quand ça "foire" on fait appel à la mégalomanie ou à la faiblesse ambiante qui viendra au sauve-qui-peut des apparences et évidemment au détriment de l'enfant qui n'y comprendra plus rien et se révoltera intérieurement en silence. Cet enfant culpabilisant face à ce qu’il assimile ou qu'il considère comme une faute personnelle d'impuissance ou de médiocrité, commencera alors à se punir, chaque réprimande ou brimade qu'il recevra injustement déclenchera ou entretiendra l’état de haine qu'il a vis-à-vis de lui-même. L'impuissance et les injustices déclencheront des réactions négatives auto destructrices ou destructrices d'une ampleur plus ou moins élevées et conséquentes selon l’état d'esprit et la situation du moment, nous entrons dans la délinquance ou le suicide des mineurs ! Christian Année 1993 / 1995
---------------Hommage à Maman-----------------
Amour et dignité. 
 Avec mon cœur d'enfant, merci à toi Maman ! Face à toutes les situations difficiles que nous vivions, Maman j’ai vu ton combat ! Maman j’ai compris tes rebellions ! Merci à toi d’avoir eu autant de courage et de volonté pour protéger l’intégrité de ta portée ! Merci de l’avoir fait avec autant de dignité et d’amour, cela m’a servi d’exemple ! Merci à toi Maman qui m'a permis de puiser, autant que je pus inconsciemment le faire, dans la caisse à outil de la vie, tu l'as si bien garnie, achalandée comme un trousseau de clés passe-partout. Maman tu as sut m'apprendre à me servir loyalement des outils que tu y avais mis, grâce à cela j'ai put tout au long de ma vie, monter ou démonter les bons ou mauvais mécanismes de mon vécu. J'ai put, grâce à la force que tu m’a donnée, faire de mon mieux pour aider les plus démunis moralement. Pour cette retransmission positive, Maman, tu n'auras jamais assez de remerciements ! Je tenais à te dire par la présente combien grande est ma gratitude. Merci à toi Maman, jusqu’à ce jour "quarante sept ans" après avoir fait moult retours sur moi, avec le recul et la réflexion, je n'ai put trouver de corrections ni reproches à te faire quant à l'enseignement des valeurs fondamentales qui ont régi ma vie, elles m'ont permis de ne point connaître l'échec. Au niveau matériel j'ai toujours sut, fort de ton exemple, approprier mon train de vie à la hauteur de mes moyens, quels qu'ils aient étés j'ai toujours su les assumer humblement, sans jamais en être frustré. Quand je l'ai désiré j'ai put égaler les plus grands, pour tout cela Maman, jamais ne t’ouvrirais mon cœur assez grand. Tu as su, quand ce fut le moment, t'amputer de tes enfants, vraiment Maman il faut que tu aie eu le cœur grand. Je t'ai vu contre tempêtes et marées, la tête haute et droite sans jamais rechigner, piloter le naufrage sur lequel nous étions embarqués, sans jamais nous mouiller tu as su nous emmener de l'autre côté, tout cela Maman est gravé à jamais dans le cœur de ton enfant. Merci à toi Maman qui a su endurer en silence le calvaire de ces années ! Maman je tenais à te faire savoir que fort de ton exemple j'ai put tout traverser, debout sans jamais ramper, sans jamais coup bas porter ! Je ne puis m’empêcher d'être fier de moi, d'être fier de toi ! Sans jamais altérer ma loyauté, grâce à ma rage de vaincre et de gagner, j'ai put renaître de tous les coups bas portés par le vécu ! Cependant, il est vrai Maman, qu'au fil du temps, j'en ressors plus blasé et plus déçu sans en être aigri pour autant. Maman je n'avais rien demandé, vous m'avez donné la vie, TU as magnifiquement assumé, c'est par respect et par amour qu'aujourd'hui je suis là encore. A vouloir trop donner, l'on finit par tout perdre, toutes choses doit avoir sa juste mesure ! Ou est-elle donc ?
L’EDUCATION et L’EDUC'ACTION
-----------Nuance ne pas confondre!-----------
--------L’éduc'action est une éducoprogrammation-------
Au travers de l'éduc'action apparaît l'éducation qui n’est que son fruit ! Dans la pratique quotidienne de la vie, notre éducation valorise ou dévalorise notre éduc’action ! L'éduc'action de 0 à 6/8 ans est une " Educoprogrammation* faite pour apprendre à gérer la vie, l'éducation en est que la résultante et une continuité qui prend le relais pour permettre de s'adapter dans une culture ou un mode de vie. La différence fondamentale réside dans le fait que l'on puisse modeler son éducation, mais qu'il nous faille subir son éduc'action. Qu'est-ce que l'Educ'action ? Il s'agit de l'apprentissage pour gérer la vie psychomécanique*, elle touche et ne concerne essentiellement que la " Gestion intérieure* dans cette dernière nous trouvons deux principaux volets. -- Une phase éduc’ative de fonctionnement mécanique dépendante des commandes inconscientes dites inaccessibles, c'est la " Gestion Mécanique interne* par réflexes singés. Chapitre que je traiterais ultérieurement, je ne m'arrêterais pas sur un soit disant apprentissage de la vie, à proprement parler, par instinct il coule de source génétique ! -- Hors cas de figures spécifiques maladie etc. .. qui sont des altérations de vécus, vivre est en soi facile, ça se résume à se nourrir par nécessité et boire quand on le doit, pour le reste la création avait prévu, avait-elle prévu la folie des hommes ? Les esquimaux d'instinct luttent contre le froid, les africains "pigmentent" contre le soleil etc.. etc. .. Avant que l'être humain ne les dénature par déplacement des contextes, les modes de vie étaient probablement appropriés au site de vie et inscrits dans une logique d'ensemble. Le plus difficile n'étant pas d'apprendre à vivre, mais d'apprendre à concilier de la manière la plus harmonieuse possible, la vie avec un mode de vie ! La tare contemporaine ! -- Mode vie que malheureusement nous avons compliqué, que nous nous évertuons à compliquer bien plus encore. Nous consacrons la majeure partie de notre temps à apprendre ou pas, aux enfants à gérer cette complication afin qu'ils aient une chance de pouvoir en limiter le champ d'erreurs. A l'origine ne devions-nous pas lui apprendre à vivre en harmonie avec les autres, à s'adapter dans son contexte naturel pour y évoluer afin d'y trouver les moyens de sa subsistance ? En lui donnant plus ou moins, le bon ou le mauvais exemple, aujourd'hui nous passons le plus claire de notre temps éduc’actif à apprendre aux enfants à gérer l'élément matériel, ou l’amour d’eux-même ! -- Par la non-maîtrise des volumes, le dictat médiatique généralisé, les volontés parentales ou les pressions sociétaires, les enfants subissent des pressions que leur jeune âge ne permet pas toujours de gérer. Très tôt ils sont surconditionnés et par-là même nous leur imposons de manger ou consommer deux, quatre, dix ou vingt fois leurs besoins originels. L'éduc'action devrait, pour la gestion interne, privilégié et inculquer aux enfants le sens de l'Amour et du relationnel avec les autres, et lui-même ! -- En parallèle il doit apprendre la gestion externe, c’est là que ça se complique, il faut lui apprendre ses devoir civiques, renforcer sa volonté, ses capacités, son objectivité et ses facultés d’adaptation ! --- Qu'est-ce la société ? --- La notre et celle des autres ? Rien d'autre que des modes et des cultures de vie communautaire. ---- Qu'est-ce la vie ? --- C’est un standard universelle avec ses critères spécifiques et ses impératifs imposés par la biologie. --- Sans la vie pas de mode de vie possible ! J'axerais donc mes théories sur ce critère. -- Les enfants, comme nous, n'auront qu'une vie, à la différence que l’avenir pour eux reste à construire. Tout comme notre avenir était entre le mains de nos parents, l’avenir des nouvelles générations se trouve dans les mains de notre présent ! Par l’éduc’action essayons de permettre aux enfants d'avoir une vie en harmonie et en cohérence. Je pense qu'il est important de savoir inoculer le sens de la vie, la vie appelant la vie. Cette dernière du début à la fin de la création restera immuable, les modes de vie passeront, la vie restera ! Si les modes appartiennent à l'homme qui les a crées, la vie reste intouchable, elle est le pouvoir suprême, nous pouvons la manipuler la déformer la rallonger, elle est et restera une et indivisible et reprendra inlassablement ses droits. Il nous faut méditer et réfléchir, les modes de vie étant différents selon les endroits ou nous nous trouvons, " l'idéal " n’est-il pas d'essayer d'inculquer aux enfants les bases fondamentales de la vie qui est un standard mondial. L'amour en est le centre vital, amour des êtres, amour des choses, amour tout court. Nous nous devons de réapprendre à aimer véritablement sans complaisances, sur la base de vraies valeurs ! Pour l'exemple dont nous avons devoir de donner aux générations futures ! --- Enviro-magnétisme de proximité --- L'amour parental étant une nécessité infantile, il ne peut être galvaudé au profit de jouissances personnelles sans prendre un certains risques pour l’enfant. La loyauté et la fidélité étant ses deux piliers, ils engendreront la confiance en vous au travers votre fiabilité, cette dernière vous conférera votre propre assurance que tacitement, par "Réflexe singés* vous transmettrez à vos enfants. La rigueur, le courage et la franchise sont des valeurs de droiture qui leurs serviront de base, de repères et de refuge, elles doivent être des axes pour guider l'éduc'action. En communiquant à nos enfants ces valeurs fondamentales nous leur fournissons le passeport pour partout, et ils pourront, quel que soit l'environnement, le milieu ou l'endroit ou ils évoluent, s'adapter plus ou moins aisément, mais s'adapter ce qui est le plus important. Malgré les diversions les malversations, l'incommunication crée par les hommes au travers du mode de vie actuel, il nous reste toujours l'Amour grâce auquel nous pouvons encore communiquer. L’Amour est ce lien inconscient et puissant de la vie, qui nous lie les uns aux autres.
--------------------L’amour vrai ! -------------------

Quand on veut, on peut ! Les enfants, autre que les excuses de l'impuissance de ci ou de ça, c'est de l'Amour Véritable ( MV ) qu'ils ont besoin ! Ils veulent de la compréhension vraie, pas des grimaces, par la compréhension tacitement vous donner de l'Amour, l'Amour pour un enfant n'est pas la traduction de tout lui céder, un enfant sait reconnaître ce qui est juste, il faut donc être en capacité de sévir quand il le faut, au moment ou il le faut pour pouvoir lui expliquer et lui faire assimiler le pourquoi et le comment de certaines de ses erreurs fondamentales. Entendez-vous ou reconnaissez vous leur Mal Etre ( ME ) au milieu de vos turpitudes et aux travers de leurs turbulences? Par votre incompréhension votre ignorance votre négligence ou votre mégalomanie, peut-être aussi par cause de votre propre souci affectif, certains bruits passent inaperçus ou sont mal acceptés, se sont bien souvent eux la traduction de leur malaise, la voix de leur enfance frustrées qui se fait entendre, apprenez à prendre le temps pour investir dans la réflexion objective qu'ils ont besoin que vous fassiez pour eux, ils ne vous avaient rien demandé, vous avez devoir de les assumer, et nuances, ne pas confondre l'éduc'action et l'éducation, l'éduc'action se traduit par l'exemple, c'est une suite tacite ou tactique d'instructions données par gestuelle ou oralement avec pour but de permettre l'assimilation des valeurs de la vie, l'éducation n'est qu'une résultante de l'effet qui s'en suit, le développement logique qui se concrétise dans le mode de vie et le vécu. Aujourd'hui, inconsciemment ou sciemment, on donnera par facilité une éducation en correspondance au mode de vie, quand ça "foire", on fait appel à la mégalomanie ambiante qui viendra au sauve-qui-peut des apparences et évidemment au détriment de l'enfant qui n'y comprenant plus rien et se révoltera intérieurement, en silence, culpabilisant face à ce qu'il considère comme une faute personnelle d'impuissance ou de médiocrité, il commence alors à se punir, chaque réprimante ou brimade qu'il recevra injustement déclenchera ou entretiendra l’état de haine qu'il a vis-à-vis de lui-même, les injustices déclencheront des réactions négatives d'une ampleur plus ou moins forte celons l’état d'esprit du moment. Qu'est-ce que l'éduc'action? A mon avis il s'agit de l'apprentissage pour évoluer dans un mode de vie, dans cette dernière nous trouvons deux principaux volets, une phase éducative de fonctionnement mécanique dépendante des commandes inconscientes dites inaccessibles, c'est la "Gestion Intérieure*( GI ) chapitre que je traiterais ultérieurement. Je ne m’arrêterais pas sur l'apprentissage de la vie, il coule de source, la vie est en soi facile, elle nous est inculquée génétiquement et se résume à se nourrir par nécessite et boire quand on le doit, pour le reste la création avait prévu, avait-elle prévu la folie des hommes ? Les esquimaux par transmission « biogénétique » luttent contre le froid, les africains "pigmentent" contre le soleil etc. .. etc. .. la difficulté réside dans les modes de vie, le plus difficile n’étant pas d'apprendre à vivre, mais d'apprendre à concilier de la manière la plus harmonieuse possible, la vie avec un mode de vie que malheureusement nous nous évertuons à compliquer, nous consacrerons la majeure partie de notre temps à apprendre à l'enfant à gérer cette complication afin qu'il ai une chance de pouvoir en limiter le champ d'erreurs, nous devrions lui apprendre à vivre en harmonie avec les éléments matériels par la maîtrise et le contrôle de leur volume, leur redonner le sens du devoir en privilégiant le relationnel avec les autres et lui-même par rapport aux autres, c'est la Gestion Extérieure ( GE )à laquelle nous allons consacrer ce chapitre. Qu'est-ce la société ? La notre ? Celle des autres ? Rien d'autre que des modes de vie communautaire. Qu'est-ce la vie ? Un standard et des impératifs imposés par la création, sans la vie pas de mode de vie possible, j'axerais donc mes théories sur ce critère qui de tous temps, en toutes occasions fût le temple de ma raison d'être ! La multitude de modes nous permet de "manquer" mais nous n'auront qu'une vie ! Essayons de permettre aux enfants qu'elle soit en harmonie pour eux. Je pense qu'il est important de savoir inoculer le sens de la vie, la vie appelant la vie, cette dernière du début à la fin de la création restera immuable, les modes de vie passeront, la vie restera, si les modes appartiennent à l'homme qui les a crées, la vie reste intouchable, elle est le pouvoir suprême, nous pouvons la manipuler la déformer la rallonger, elle est et restera une et indivisible, reprenant inlassablement ses droits. Fort de cela il nous faut méditer et réfléchir, les modes de vie sont différents celons les endroits ou nous nous trouvons et interprété celons le vécu individuel et collectif, c'est pourquoi fort de cette pensée inculquons à nos enfants les bases fondamentales de la vie qui est un standard mondial, à mes yeux l'amour en est le centre, amour des êtres, amour des choses, amour tout court, nous nous devons de réapprendre à aimer véritablement sans complaisances, sur la base de vraies valeurs, pour l'exemple dont nous avons devoir de donner aux générations futures, l'amour se décompose en quatre volets principaux, le courage dont il faut pouvoir faire preuve à certains moments, courage dans l’abnégation et dans la force de la persévérance pour pouvoir aller au-delà de soi, il faut savoir qu'en tournant en rond autour de sa petite personne, nous déplaçons de l'air qui enrhume et refroidit notre entourage immédiat "Enviro-Magnétisme de Proximité ( EMP ), l'amour étant une entité indivisible il ne peut être galvaudé au profit de jouissances personnelles sans prendre un certain risque, pour soi et pour autrui, la loyauté et la fidélité étant ses deux piliers, elles engendreront la confiance en vous au travers votre fiabilité, cette dernière vous conférera votre propre assurance, ces valeurs vous guideront et vous serviront de base, de repères et de refuge, elles doivent servir d'axes à l'éduc'action, vous devez à tous instants les défendre becs et ongles dans notre mode de vie. En communiquant à nos enfants ces valeurs nous leur fourniront le passeport pour partout, et ils pourront quelque soit l'environnement, le milieu ou l'endroit ou ils évoluent, s'adapter plus ou moins aisément, mais s'adapter ce qui est le plus important. malgré les diversions, "l'incommunication" crée par les hommes au travers la mode actuelle, il nous reste toujours ce lien inconscient et puissant de la vie qui nous lie les uns aux autres et grâce auquel nous pouvons encore communiquer. L'Amour est le langage muet de la vie. Le départ de l’éducation commence chez le nourrisson, c’est une éduc’action. Ce sont les comportements parentaux qui seront les précurseurs de l’éducation. En tant qu’acteurs ils créent les premiers réflexes, les Réflexes Singés ( R S ), qui détermineront chez le bébé sa Ligne Directrice ( LD ). Arrive dans un deuxième temps l'apprentissage de la matérialisation de ces réflexes qu’ils soient gestuels ou sonores. Ils seront suivis du choix des Valeurs Guides ( VG ) qui seront autant de repères pour un enfant. L’acuité de l’éduc’action et l'appropriation de celle-ci aux contextes fera l’efficacité mesurant le degré de positif ( Q P ) quotient négatif ou de négatif ( Q N ) quotient négatif visible chez un gamin. Dans un premier temps chez l’adolescent nous voyons se dessiner l'affectif douceurs ( AD ), c’est le relationnel social et sexuel qui seront les moteurs psychiques de notre vie. Dans un troisième temps, tests de ce nouvel ensemble pour confirmation de sa cohérence de fonctionnement. Christian Janvier 1995
-------------Maîtrise et gestion de soi-----------
Une bonne gestion de soi contribue à la maîtrise de son environnement.
Important : Nous vivons de moins en moins de part notre être, ce dernier passant sous contrôle du paraître engendre notre mal-être par effet boomerang de gestion négative. Bien souvent c'est le départ des actions qui déterminera la " Ligne directrice *, le choix des Valeurs Guides* sera autant de repères de direction, l'acuité et l'appropriation de celles-ci aux contextes fera l'efficacité mesurant le degré de positivité ou de négativité qui influeront ces dernières. La pensée est issue de l'environnement, c'est le point de départ d'une situation, cette pensée génèrera une idée, un projet, ce dernier déclenchera le mécanisme de la réflexion, celui-ci sera chargé de paramétrer toutes les données connues, de prévoir une sécurité en cas d 'imprévus, sachant que le cerveau est capable de mémoriser tous les éléments internes et externes perçus par les sens, la réflexion a pour rôle, tout comme un maître d'archives, de ressortir le maximum des données connues, et tout comme les pièces de plusieurs puzzles mélangées, cette dernière devra sélectionner, avec la meilleure logique possible, les pièces susceptibles de s'emboîter et de correspondre à l'ensemble d'un même puzzle, ce sera la cohérence, cette dernière sera plus ou moins élevée, selon les critères de rangement conférés par l'éducation, c'est pourquoi l'importance de celle-ci dans notre vie, elle à pour but essentiel de créer le circuit organisateur de la gestion externe, plus il aura été précis au départ, plus il sera facile au courant de sa vie de le parcourir, et de s'y retrouver, c'est le début d'un labyrinthe comparable à la construction de la 1ère alvéole d'une ruche, l'éducation a pour charge d'en fixer les modalités et le schéma de base, c'est pourquoi parlant de l'un ou de l'autre nous dirons il ou elle est bien structuré, cette structure de base sera d'autant plus importante qu'elle servira de modèle pour l'agrandissement de cette dernière qui elle régira l 'ensemble des situations, la multiplicité de ces dernières formeront le contexte général, ce dernier sera visualisé et contrôlé par la conscience, nous entrons au cœur de la machine humaine ( Notre centrale le cerveau ). Revenons à la maîtrise de l'environnement, cette dernière est indissociable de notre gestion personnelle, en effet nous avons put le constater en amont, la pensée..... l'idée... la réflexion... et maintenant nous entrons dans la phase de la matérialisation, nous en avons normalement fait le parcours psychologique, c'est à dire que cérébralité nous avons visualisé et créer, du point A au point Z la matérialisation ( " Trajectoire * ), nous devons avoir inclut le paramétrage et les modalités de fonctionnement, les étapes, éventuellement les réflexions découlant de ces dernières, les éventuelles rectifications de trajectoire, ces dernières devant véhiculer pour information et compréhension des parties prenantes, il faut alors prévoir, la ou les places que doit occuper l'élément humain en tenant compte de la position de chacun , cette dernière étant le respect que ne devons à autrui, mieux vaut un qui sait que dix qui cherchent, un homme avertit en vaut deux, c'est fort de ces citations que nous pouvons obtenir une bonne coordination, cette dernière engendrant la cohérence, ces éléments réunis permettrons l'uniformité, cet ensemble pourrait s'appeler planification dans le domaine matériel, pour ce qui est de mes théories, tous éléments générés par notre être et extériorisés par notre paraître devraient passer par ce cheminement, si ces conditions sont réunis et respectées je ne puis plus parler en terme de planification, mais d'Amour. Bien des personnes aujourd'hui ( malheureusement de moins en moins ) pratique de cette manière, mais n'en n'ont plus la réelle conscience, il pratique par Instinct de Mode ( IM )ce qui ne les met pas à l'abri d 'un " Accident de Parcours ( AP ).La maîtrise c'est de savoir que l'on sait, de savoir quand on ne saura plus, de savoir s'arrêter quand on ne sait plus, de savoir que l'on ne peut tout connaître, de savoir apprendre quand l'on ne sait pas, de savoir écouter quand on entend plus, c'est la sagesse qui permet la modération, de voir en aveugle, d'entendre ce qui ne se dit pas, de dire ce qui ne s 'entendra pas, d'agir sans actionner, de sanctionner sans agir, de punir sans frustrer, d'être ferme sans enfermer, d'être tolérant sans être laxiste, d'être respecté sans être dictateur. La maîtrise c'est d'avoir une poigne de fer dans un gant de velours. De pouvoir être la main qui châtie et celle qui donne. La maîtrise est plénitude. (Christian 16 décembre 1994)
INSTRUIRE SANS INTELLIGENCE C’EST REMPLIR DE VIDE
L'éducation est dépendante de l'intelligence
L'intelligence -- Ressource naturelle guidée par la vie et l'âme elle est malheureusement modelée ou déformée par le conditionnement et l'endoctrinement des modes de vie, elle est reliée au paraître puisqu'elle traduit une mesure perceptible de la faculté de gestion et d'analyses des données mémoires filtrées au travers des "Paliers de Conscience ( PC ), ces derniers font apparaître la capacité de coordination de la pensée associée à la réflexion, originellement n'est-ce pas l'intelligence elle qui aurait pour mission de déclencher les reflex vitaux? L'intelligence travaille probablement à des vitesses encore inconnues qui doivent être infiniment inférieure à la fraction de nano seconde (milliardième de seconde). L'instruction (écoles) -- C'est uniquement un apport artificiel en mémoire, une part de l'éduc'action sert à l'apprentissage de la bonne matérialisation de cette dernière. L'amour et l'éducation -- L'amour est une force de maîtrise qui permet compassions et tolérances, nous confondons trop souvent Amour et attendrissement, l'Amour est une force de maîtrise permettant d'aimer et de sévir, c'est une poigne de fer dans un gant de velours, l'attendrissement est une faiblesse conduisant trop souvent au laxisme et à la pitié qui enlève sa dignité à l'individu qui la reçoit. L'éducation est la résultante de l'éduc'action qui sert de tremplin et devrait se traduire par l’extériorisation d'un savoir-vivre et laisser vivre. C'est le résultat concret de l'éduc'action qui fera la force que confère l'Amour, ce dernier est la richesse et le prolongement de la vie, il s’acquière et se cultive tous les jours à la rude école du vécu. Hommage aux mamans -- En connaissance des difficultés rencontrées par les mères seules, pour celles d'entre-elles qui ont encore la capacité de volonté permettant de conférer une éducation décente à leurs enfants, j'ai tenu à rendre un hommage... J’espère également qu'il pourra servir d'encouragement à ces mères n'ayant plus les moyens ou la force de le faire. Christian Janvier 1995
------------ L’enfant et ses servitudes----------
L’auto disciplinaire. Les contraintes et la gestion de la vie des enfants et adolescents, par eux-mêmes, se font jour au travers des études scolaires. Les dérives peuvent trouver leurs fondements dans l’éducation parentale, qui, dès le plus jeune âge projette l’esprit infantile dans une forme de suractivité non contrôlée et trop souvent encouragée par la non-autorité, le laxisme ou le nombrilisme parental, qui avalise ou permet un «éparpillement cérébral». Incontrôlable pour l’enfant ou l’adolescent, en le déstabilisant, ce manque de repères peut créer un ordre de marche incohérent. L’incohérence ne lui permettant pas de s’inscrire dans un cadre imposé par une vie communautaire. Cet état de fait pouvant engendrer une multitude et une multiplicité de marginalités intraitables ! Ces marginalités devant être «traitées» au cas par cas, à tous les niveaux, une collectivité, fut-elle la plus sociale, ne peut face à tous les cas. La psychoaffectivité est une carence qui anile la visualisation objective de l'imaginaire sur lui-même. Il devient impossible à l'enfant, l’adolescent ou l'adulte d'effectuer seul la rectification de ses erreurs comportementales. Ces erreurs sont créatrices «d'effets boomerang de négativités» ayant pour conséquences d'enfermer la personne dans cette conjoncture négative. Cette négativité sera porteuse de rejets dans son environnement affectif, le sujet se retrouvera dans une forme de mise en quarantaine. Cette auto protection des autres sera vectorielle et exponentielle de son malaise. La personne devra porter seule le poids de la solitude interne et l'enfant vient de refermer la boucle du cercle vicieux, sur lui-même ! L’enfermement psychique, dans lequel l’esprit se trouve, devient comme une bête féroce prête à déchiqueter ou comme un légume, apathique et mauvais partout.
--------Auto discipline ou objectivité ?--------
L'objectivité se décompose en deux axes principaux. --- L'objectivité personnelle, la "Persobjectivité* dépendante de la maîtrise de "l'Esprit Spirituel* (intelligence), est une faculté de regard en soi et sur ses actions. --- L'objectivité de contexte, la "Contexobjectivité* dépendante de "l'Esprit Matérialiste*, est la faculté d'analyser impartialement les actions de soi et d'autrui par rapport à leur contexte de situations. Pour le meilleur et pour le pire ? -- Communion de la vie (psychique) et du vécu (matériel), il semblerait aujourd'hui que nous basculions dans le pire, traduction de la fracture sociale, des détresses et souffrances de toutes natures. -- Vivre c'est le combat permanent pour trouver ou garder l'harmonie entre son être, dépendant du "spirituel" et son paraître, dépendant du "matériel", entre les deux se trouve l'amie ou l'ennemie juré, la solitude. -- La solitude peut être, en alternace, une sublimation de la tranquillité ou un néant destructeur. -- Celui qui se préoccupe de paraître peut-il encore regarder ? -- La simplicité et l'hygiène de vie permet de déceler par objectivité votre malaise et le contrer. Une "éduc'action* forte facilite grandement la tâche de maintien ou de rééquilibrage psychique. L’équilibre étant un point médian cérébral optimisé, qui permettra d'avoir une meilleure maîtrise ou perception de ses agissements. Au final c’est une prévention à l’encontre de ses propres erreurs comportementales provocant les déséquilibres cérébraux. -- Fort celui qui domine les autres, puissant celui qui se domine lui-même ! -- L'acquis principal d'une bonne "éduc'action* est "l'éducation* qui fait la maîtrise de soi. Le potentiel risque : Le comportement et le vécu individuel de nos jours me fait penser à ces automobilistes qui conduisent comme des chauffards, intriguant tout le monde du fait qu'ils ne leur arrivent rien, Évidemment ce sont les autres par soucis de protection personnelle qui les évitent ou évitent les accidents potentiels qu'ils sont susceptibles de créer. On ne se gère plus, on fait de la mémorisation, on "réfléchit subjectivement". Le "tropenser" ou "réflexion subjective* court-circuite la "réflexion objective*
------------------L’hygiène de vie-------------------
"L’inobjectivité" (auto partialité): Tous phénomènes vecteurs de pensées négatives, engendrent une réflexion et une vision du même type par exacerbation des sens. J’aimerais dans le présent chapitre faire ressentir la différence de perception et de réceptivité que l'on peut avoir dans des situations identiques, mais vécues à des moments différents. Le but n'étant pas d'avaliser une quelconque forme de fainéantise mais de mettre l'accent sur l'importance accordée au temps de la réflexion, au recul pris par rapport aux choses négatives que nous subissons, contre lesquelles nous avons trop souvent tendance à réagir au coup par coup ou de façon bornée. Le laxisme cérébral peut avoir pour conséquences un manque de sang froid, de sagesse ou de maîtrise d'où découle l’inefficacité et la surprise par perte de temps. Les travers issus du vécu sont les forces de contre de la vie, si nous n'avions pas ces dernières en opposition nous ne pourrions ni apprécier ni reconnaître la qualité de notre vie. Pouvez vous imaginer un jeu dans lequel vous n'auriez pas d'adversités ou tout simplement un jeu dont vous seriez immanquablement vainqueur et dont l'issue serait déjà réglée au départ ? Trop souvent par égocentrisme délirant, prétention mal placée ou susceptibilité imbécile, nous créons des conflits, des situations qui fatalement nous serons défavorables, de par la partialité dont nous avons fait preuve, nous retournons le contexte contre nous même, c’est «l’effet miroir» par manque «d’hygiène de vie», l’objectivité en est l’élément central. Quand tout va mal, pour arranger la sauce, "l’inobjectivité" concocte des excuses, pleurniche en accusant et emmerdant la population qui n'avait rien demandé et rien fait de préjudiciable. Par reflex logique de défense de sa tranquillité, l’entourage se retournera contre le fauteur de trouble. .. "l’inobjectivité" ! Dans l’ultime espoir de faire taire, elle en rajoute une couche en essayant de faire endosser une veste qui n’appartient qu’à elle-même ! La coupe est pleine et trop c’est trop, la réaction sociétaire peut alors dépasser le cadre de la virulence. .. C’est à ce moment qu’il faut penser qu’il n’y a pas de fumée sans feu et aller chercher, dans sa tête, le pourquoi et le comment des choses. .. c’est l’objectivité ! "L’inobjectivité" comportementale peut engendrer toutes les formes de réactions négatives ! «L’effet boomerang de négativité personnelle» découle souvent de la médiocrité involontaire de auto partialité. Si vous lisez ces lignes dans un temps ou votre situation est fortement défavorable, que votre équilibre est précaire, vous risquez de mal réagir, cette réaction sera la traduction de votre pensée négative, issue du mauvais contexte de votre vécu ! Vous êtes péjoratif ! Toutefois il n’est pas exclu que je me soit mal exprimé pour vous ou mal exprimé tout court. Faites un test, relisez ces mêmes lignes dans un moment de calme, comparez vos deux réactions, si vous acceptez mieux en deuxième lecture. La différence de perception sera la matérialisation de votre sensibilité du moment. En mettant l'accent sur la fluctuation de vos états d'âmes, cela pourrait vous faire déceler votre quotient "d’inobjectivité", et peut-être, vous préserver des répercussions négatives qui pourraient s'en suivre.
----------------Particulier mais vital--------------
L'instinct de conservation et la préservation par instinct // L'endormissement de l'être est une des armes de l'instinct de conservation, celui-ci a deux fonctions, la protection de la vie physique et psychique, après une période d'intenses perturbations il est à son apogée, créant une plus ou moins longue euphorie de la vie, phénomène compensatoire en ultime protection de l'être. Cette euphorie n'est bien souvent qu’un feu de paille, une surdose énergétique, l'arbre qui cache la forêt, faisant suite à cette euphorie arrive un grand vide en contraste à cette dernière. La règle des extrêmes primera une fois encore, c’est un cheminement obligatoire. Les extrêmes sont les deux mesures étalon de l'instinct de conservation, grâce à elles il peut déterminer le point médian de notre être et essayer de donner au paraître les moyens d'y revenir. L'être à une ligne de vie, son meilleur rendement est au «point médian», condition impérative au bon fonctionnement de la machine humaine. Ce point médian est fait d'un savant mélange de réalisme, d'inconscience et de chimères, le tout concocté et servit en permanence, sur fond de rêves d'espoirs et de croyances, par notre ange gardien «l’instinct de conservation». L’instinct de conservation est une centrale de sécurité en collaboration étroite avec le paraître, les sens et les réflexes qu’il commande. L’instinct de conservation «monte la garde 24 heures sur 24», c’est notre point de vigilance, le vigil qui se trouve aux manettes de tous nos principaux réflexes. Quand l’être est blessé il refuse toutes formes de vie externe au halot de sa blessure, il tente de trouver lui-même un remède à celle-ci et ne fait que s'y enfermer, nous sommes entré dans la phase des frustrations négatives, «c'est le mai 68» de l’être à l’encontre du paraître. Les frustrations négatives pouvant être considérées comme des blessures de l'être, et l'instinct de conservation un médecin à son chevet. L'être communément appelé cœur est notre épicentre énergétique. Comparable au moteur à deux temps, il a comme carburant l'amour, une dose d'amour, une poussée énergétique etc.. etc. L'Amour est un carburant multi facettes, amour des êtres, amour des choses et Amour tout court. .. L'Amour est le premier stimulus de la machine humaine. (jan 1994)
L'une des erreurs de l'homme est d’avoir défier, par «l’inintelligence» de certains, les règles biologiques fondamentales de la chaîne naturelle dans laquelle il s'inscrit, le cycle de la vie, faisant ainsi involontairement barrage à cette dernière. Les principaux maillons de la vie étant la mort, la maladie, la longévité, éléments déterminants pour la cohérence du système, en refusant ces paramètres fatalement nous en faussons la bonne marche de laquelle psychologiquement nous nous excluons au fils du temps, ce qui semble se dessiner aujourd’hui. Plus nous nous mettons en opposition, plus nous avons d'emprise sur les lois naturelles, plus nous arrivons à imposer nos règles, plus « l'humanité » se trouve en danger ! Nous perdons nos repères biologiques et avec eux la loi de l'équilibre. Plus nos recherches avancent plus "l'humanité" recule. Trop de connaissances finit par nuire, nous acceptons bien ce que nous ignorons, la modération est une des clés de l'équilibre. Il serait important aujourd'hui d’enclencher la marche arrière avant que celle-ci nous soit durement imposée, nous devons mettre notre intelligence à notre service. Essayons d'employer nos acquis à rétablir ce que nous avons détruit, avec un regard différent il nous faut décélérer, faire le point et remettre tout à plat, prendre le temps de restaurer les barreaux de l'échelle des valeurs que nous avons insidieusement et hypocritement rognés. Toutes formes d'excès conduisant à l'ignorance, à vouloir tout manger trop vite, nous courons à l'indigestion, à vouloir trop vivre nous finirons dans une forme de «psychonévrose». Aux vues des situations conflictuelles présentes, la vie pour la « minomajorité » devient indigeste tant sur le plan matériel que psychologique. En faisant une recherche effrénée et aléatoire de la ‘jouissance plus’ nous entrons de nouveau dans la loi des excès. Excès qui bloqent toute forme d'objectivité, cette dernière étant l'un des éléments clés de la lucidité permettant le raisonnable. En perdant le raisonnable nous entrons dans l’anarchie créant, par saturation, l’insuffisance du système humanitaire. Les carences de ce système risquent de nous faire rentrer dans un cycle infernal de ’mort latente’. A l'échelle de la vie les minorités d'aujourd'hui feront les majorités de demain, à l'échelle humaine, tous phénomènes excessifs sont destructeurs de vie. Nous connaissions la nuit des temps, sommes-nous à l'aube du temps de la nuit ? La limite du cycle de la vie étant la frontière de la mort, plus nous agrandirons le cercle de la vie, plus nous nous rapprocherons des frontières de la mort. (Christian 1994)
--------Rapport sur une fracture sociale------

Là où le bât blesse !
Un des fléaux de la pensée contemporaine est le raisonnement par le manque et non par l'acquis. Le mur de l'affectif est le seuil de décrochage entre la pensée profonde du besoin de revalorisation affective, et la concrétisation de cette dernière. L'endoctrinement médiatique en générant l'individualisme crée les grandes solitudes et ce sont les fantasmes qui délient l'aliénation psychique du manque. Le matraquage médiatique s'installe en maître au cœur du fonctionnement humain. En perturbant l'harmonie communautaire des esprits, le matraquage subliminal est vecteur d'autismes sociaux protecteurs. L’univers médiatique devient une spirale de la démesure engendrant l'incohérence et l'intolérance qui creusent l'écart entre le rêve et la réalité. Cette instabilité cérébrale nourrit l'agressivité et les violences. Notre système «affaiblimédia» crée la rupture dans le rapport d'harmonie entre spirituel et matériel, c'est la dissociation de l'être et du paraître. La fracture sociale étant une rupture dans la cohérence de l’entité cérébrale individuelle. Pour mieux s'en abreuver, les médias publicitaires cultivent la "normalisation collective". Leurs fonds de commerce étant l’affaiblissement de la vigilance individuelle. Ce «Imédiafou» a pour conséquences de scinder l'individu en deux entités symétriquement opposées. L’entité spirituelle étant, par besoins affectifs, de nature sociale, elle sera très souvent incompatible avec l’entité matérialiste qui est égoïstement individualiste. L'ami et l'ennemi vivent alors sous le même toit sans trop savoir de quoi demain sera fait, qui sera l'un ou l'autre. L'être porte en lui son propre fléau d'insécurité. Fléau qui essayera, par tous les moyens mis à sa disposition, de tromper l'instinct de préservation pour s'en débarrasser et assouvir le manque, quitte à le voler à autrui. Nous sommes au cœur de la fracture sociale, défaite de la raison face au cœur qui déraisonne. Quand l'extrême cérébral prend les rênes il perturbe la raison qu'il entraîne sur la voie de l'aliénation ! En canalisant par déréglage les paramètres individuels du fonctionnement collectif. L’extrémisme cérébral est une forme de "chacun ma peau" qui implante ses crocs dans l'espace exigu du bienséant communautaire. Le bon aloi, à la manière des vases communiquant, devient peau de chagrin ou empire du d’échéant de l'abus. La joie de vivre est victime d’une société poubelle qui telle la vermine a contaminé l'eau vive qu'est la liberté et l’Amour universel. Plus nous côtoyons la vénalité humaine mieux nous apprécions la philanthropie et la liberté que confère la solitude ! Le déraisonnable s'abreuve dans la fange d'une liberté non contenue qui procède comme un vampire pour s'abreuver de la pulpe sanguine de la vie d'autrui ! L’Amour est comme une eau vive qui coule au goutte à goutte, patiemment, il construit son limpide ruissellement en esquivant par caresse les obstacles de la nature. Comme l'eau du ruisseau qu'il est devenu, l’Amour suivra respectueux, la voie que la mère nature a tracée pour lui, et petit à petit, comme l'enfant, il grandira pour devenir rivière ou fleuve selon la volonté divine. Toujours fidèle aux lois et règles universelles, l’Amour murmure le chant de sa course pour nous rappeler à son bon souvenir, et tranquille, de son pas assuré, il regagnera son lit, qu'avec sa grandeur naturelle il ne quittera que pour exprimer la colère de Dieu. La liberté est une enfant naturelle de la vie, elle ne peut s'acheter qu'avec les deniers de celle-ci. Quand la liberté s'en va, c'est pour un instant avec sa fidèle compagne la solitude, échapper aux turpitudes d'un monde devenu fou, alors d'un pas tranquille elle se sublimera en se métamorphosant dans l'immensité du silence. (décembre 1995)
Le passé au présent et à l’avenir
Le gendarme et le voleur
La vérité d'aujourd'hui est parfois le lourd tribut à payer à sa tranquillité de demain. Le présent a le pouvoir de juger du bien ou du malséant de nos actes passés, se substituant au juge d'application des peines, l'avenir officiant tel un bourreau, en son temps et en son heure, fera à chacun tirer ses chaînes. Le présent montre en la dévoilant, la culpabilité qui se fait jour sous la forme d'une gêne et d’une suspicion permanente, à l'inverse, la loyauté devient une évidence qui se met en valeur avec le temps qui passe. En dénonçant le mensonge au présent, l'avenir lève le voile sur la vérité et se dérobe sous les pas du menteur, en l'enfermant acte séant, dans ses mensonges d'antan, il entravera sa liberté présente en altérant la qualité sa vie future. (avril 1997.
Monsieur plus
Devrons-nous vivre l'an deux mille avec des bottes, dans le royaume de la faiblesse, de l'exploitation des faibles par les faibles, cinquante dans la même gamelle et dès qu'il en sortira un, il se précipitera pour aller grossir le rang des uns ou deux avec cent gamelles et qui ne rêvent que d'en avoir deux cents, quitte à piquer celle du voisin qui n'en a qu'une ! Il n’est pas clair le «Monsieur plus», ce civilisé de la gueule ! Monsieur plus qui compte souvent sur les autres pour assumer les taches communautaires. Monsieur plus qui passe le plus clair de notre temps à essayer de blouser les organismes sociaux après lesquels il râle parce qu'ils n'ont plus de fric à se faire voler. Monsieur plus, demain à cause de ton esprit vénal ne nous faudra t’il pas travailler deux fois plus, pour manger deux fois moins ? Ne faudra t'il pas compulser un monceau d'écrits.. entre les lignes et avoir les connaissances d'un juriste pour se sentir en sécurité ? Devrons-nous prendre l'assurance d'être assuré ? Devrons-nous enregistrer nos paroles pour ne pas les voir se retourner contre nous ? J'ai entendu qu'il fallait faire simple, mais comme à mon habitude, j'ai dû mal comprendre ! La simplicité serait-elle devenue... Chercher un tel ou un tel pour servir de faux témoin blanchissant je ne sais quelle situation merdique dans laquelle un tel ou un tel c'est foutu ? En bonne amitié évidemment, on ne peut douter de ce type de «maniacosincérités» sous peine d'être un monstre associable. Par moments il me semble que vraiment... Plus monsieur plus est con et plus il est fier de l'être ! (janvier 1995) Face à la mégalomanie nous ne trouvons de justes motifs que dans le bienséant des raisons de nos actes. « Aux innocents les mains pleines » Ne pas savoir ce n'est pas être ignorant, le non-savoir est l'ignorance de ce qui est connu par vulgarisation. Faute d’avoir la sophistication des modes sociétaires, le naïf a l'intelligence de la vie ! Pour une injure faite à son âme une personne naïve se révolte, une personne sage sourit.
VOYAGE VERS L'AN 2000
ANTICIPATION DE 1980
Nos sentiments s'en iront au fil du rayon laser, nous n'y gagnerons que des vertus guerrières au détriment de nos pensées humanitaires. Frères terriens de l'an 2000 je vous plains, déjà je vois votre déclin, pourrais-je tenir sans en mourir. Nous générations de transition en souffrons beaucoup, car nous avons des éléments de comparaison entre l'avant et l'après, nous avons du mal à faire la jonction, pourrons-nous la faire encore en l'an 2000, face à la génération robotique issue de l'informatique. Les valeurs se perdront, seront remplacées par des équivaleurs artificielles, les valeurs de rechange. Les vraies valeurs ne pourront et n'auront de places pour être. Nous remplaçons au travers du progrès, le solide par la pacotille synthétique et lumineuse. Enfants de demain saurez-vous encore ce qu'est la sagesse, le mot nostalgie figurera t’il encore dans le dictionnaire ? Aurons-nous la force de vous enseigner la piété, la simplicité, l'humanité saurons nous encore ce que cela veut dire ? Serons-nous aplatit, anéantit ou résigné devant toute cette froideur ? Nos villes seront de vaste amas de béton armé, nos campagnes aussi perturbées, devront-nous faire, à nos enfants, la visite des champs ? Nos rues deviendrons-elles des fanfares lumineuses et tumultueuses ou il n'y aura de place que pour la turbo mobile restaurant couchette. Ferons-nous l'amour au rythme d'un baisomètre pulsatif ? Peut-être pourras t’on s'auto-programmer grâce au mini programmateur crânien ? Nous avons été les maîtres des machines, elles ont été de bonnes élèves, nous en seront leurs esclaves. Nos femmes auront peut-être le temps entre midi et midi et demi de prendre la pilule enfantimale dans le même temps que celle super condensée de vitamines C. Vivrons-nous à l'heure des pilules somatique pour qu'en une heure nous remplacions la nuit. Sommes-nous à l'aube d'un cauchemar ? L'aire nucléaire fera t’il du monde un désert de solitude d'incommunication et de froideur ? J'ai peur, je suis triste, j'essaie de ne plus y penser. On critique la peine de mort, mais a t'on le droit de donner la peine de vie ????.....
---------------Irresponsables sociaux------------
Dans les années à venir nous verrons l'apparition de « responsables temporaires » euphorisés par une «Médiocrintellectualité» qui leur a mis la "grosse tête" ! En créant ou reprenant des entreprises, ces bouffons du pouvoir en ferons des "IntérimEntreprises" d'une longévité de un à deux ans, le temps d'en dilapider les fonds qu'ils avaient d'ailleurs empruntés à des aides galvaudées et bradées à perte de vue ! Des individus limités au «civisme tintant et trébuchant» qui à terme se servent trop souvent des discours pour couvrir l'inaction, le laxisme, l'incapacité ou la mauvaise foie dont ils font réellement preuve ! La luminescence de leur discours masque le côté lubrique de leurs actions, ils sont plus forts devant un couvert en argent, un Q ou le volant qu'ils ont placé sur les dollars de la société qu'ils dirigent ! La sécurité d'emploi et ce qui en découle ne pourra être que précaire, entraînant ou engendrant le péril de faillite pécuniaire de leur partenaires sociaux et de leurs employés. Ces margoulins du pouvoir faisant, en dernier ressort n'importe quoi n'importe comment, ils finissent par laisser tout à volo en abaissant le seuil de tolérance à son plus bas niveau. Ces situations ne pouvant engendrer au sein du travail que démotivations, tensions, suspicion et défiance du potentiel humain sur lui-même. Au nom de tous les responsables et des chefs d'entreprises qui se respectent encore, j’écris pour dénoncer certaines paroles irresponsables prônant la lutte des classes qui risque de faire basculer à terme le social entreprise vers un "dictatosocial" sauvage, seule voie laisser libre pour éviter le pire ! Ces paroles irresponsables ajoutent une forte dose d'intolérable de part leur gratuité et le type de comportements qu’elles génèrent ! La bonne gestion d'une entreprise est suffisamment complexe et compliquée, il est inutile d’y ajouter les tensions d’un climat social douteux ! (Christian 1995)
--------------------L’utopie social-------------------
A vouloir trop donner on finit par perdre l’essentiel ! L’utopie de social conduit à l'ingratitude, c'est le laisser «mordre la main qui nourrit». L'homme a besoin de combattre pour gagner ce qu'il a, c'est une valorisation par regard inconscient qu'il porte sur lui-même. Toute chose doit avoir sa juste mesure ! Ou est-elle donc ? L'orgueil, la prétention, l’irréalisme ne sont-ils que des complexes d’infériorité déguisés ? L'erreur des orgueilleux, est par leur imbécillité de provoquer la défaite des autres en prenant cette dernière pour une victoire personnelle. Endormis et leurrés par leur mégalomanie, quand ils se réveillent c'est pour percevoir qu'ils ont perdu, qu'à cela ne tienne, leur Quotient d’Imbécillité, nourriture fondamentale de leur orgueil, impose le retour au combat stérile qui les amènera à leur prochaine défaite. .. Contre eux-mêmes ! L'erreur des jaloux, est de se mettre le couteau dans une plaie qui leur est à vif, de le remuer en permanence en pestant après les autres de la douleur qu'ils se font à eux-mêmes. L'erreur des lâches est de s'acoquiner avec jaloux et orgueilleux, qui, copieusement, vont lui manger la laine sur le dos, alors morts de froid, ils iront voir les gens "dits normaux" qui eux, pour les réchauffer, leur tomberont sur le paletot. .. En leur taillant une veste ! Pour ne pas s'interposer entre elle et la "connerie" humaine, l'intelligence est une faculté qui permet à la sagesse des gens "normaux" d’en faire le distinguo. La sagesse est un état de grâce qui met au diapason l'âme et l'esprit pour protéger la vie de l'être. Vivre pour la galerie ne sera jamais que faire la vie de celle-ci, quand vous essayer de faire prendre des vessies pour des lanternes, la connerie vous sert des vessies ! Le gestionnaire est un travailleur du lendemain, condamné ou valorisé aujourd'hui pour un travail. .. Qui ne sera jugeable que demain ! (1995).
SOCIALISME EN CAUSES ET MÉFAITS
Je me pose une question, ont-ils cérébrale'ment parlant, des gênes de cerveau de tortues, vus qu'ils ont déjà... Les sang'gênes de tordus
En 1981 Chacun devait donner une heure par semaine de son temps de travail pour les chomeurs de l'époque, charge était aux entreprises de compenser en embauchant, c'était fabuleux tout le monde était d'accord, oui ! .. mais pour faire 39 heures, car à l'heure du salaire ... les chomeurs on s'en est foutu royalement, plus question d'heures cadeaux, l'état transcendant, en la voix de l'instigateur de l'idée Mitterrand pour ne pas le citer dit alors dans la langue du toujours rien, le pouvoir d'achat des travailleurs ne doit pas diminuer , kool !
Le problème à son niveau était règlé , qu'on fait les entreprises duppées , 1/4 d'heure de bourre en plus par jour, le problème était règlé, qu'on fait les chômeurs, pour la partie Petites Gens, on bouffera moins, pour les boeufs, on truandera un peu plus !
Fin 1981 J.Delors alors ministre des finances démissionne il est honête et reconnait que sa position n'est plus tenable. Il sera plus de dix ans à la tête de l'union Européenne. Election 94/95 il est sollicité pour se présenter, je vous livre la réponse: Si je me présente et que suis élu, avec qui pourrais-je gouverner c'est pourquoi je ne me présenterais pas. A vous de juger ? 
En 1982 revirement total, puis montée en flèche du capitalisme... Et des NOUVEAUX PAUVRES !

Années 1990 les caisses se vident apparitions des TRAVAILLEURS PAUVRES et des SUPER STAGIAIRES ?
Monsieur le conseiller de l'ère Mitterrand qu'avez vous pronostiqué à cette époque ? Pourriez- vous nous éclairer ?

Je suis apolitique mais je dis chapeau la gestion de l'époque... On en remet une couche... Chiche !

LA FRACTURE CÉRÉBRALE

Un des fléaux de la pensée contemporaine est le raisonnement par le manque et non par l'acquis etc... Je rajouterais aujourd'hui que ce phénomène n'est pas une nouveauté. Il n'est que la conséquence d'un assistanat forcené dicté par des assoiffés de pouvoir comptant ou se nourrissant de la zizanie pour régner. A noter que je ne parle pas des travailleurs mais d'une certaine classe poli'tiques.



CON'SEILLIER DU TEMPS OU IL ÉTAIT ENCORE TEMPS
       
MIEUX VAUT TARD QUE JAMAIS
INFOS 2009
Un député « L'évolution technologique est incontournable, elle est même nécessaire, elle est même souhaitable. L'évolution morale, l'évolution institutionnelle, l'évolution politique sont parfois dangereuses, et personnellement je souhaite qu'un certain nombre de valeurs, qu'un certain nombre d'institutions soient sauvegardées. » « notre époque confond souvent le progrès et la décadence »
La Cour de Cassation vient enfin de dire le Droit. Un député a le droit dans notre pays de défendre une conception traditionnelle, et rationnelle, de la Famille et de l'anthropologie.
Partager ce que les autres ont. .. Extrait satirique et caricature d’un certain Meur Toulmonde. .. Situations et dialogues marquants tiré du populaire. Interview de Melle Comtoulmonde qui recevait Meur Rienafroutre - / - Melle Comtoulmonde -- J’aimerais que vous nous fassiez connaître vos sentiments sur la vie et comment vous la percevez ? -- Meur Rienafroutre -- Ben nous dans la vie on n’veut pas s’emmerder avec un patron, cs’ont tous des connards et’le gouvernement c’est pareil ! Regardez-nous.. on en chie ! Merde ! -- Melle Comtoulmonde -- Qu’avez vous fait hier pour ne pas en baver aujourd’hui ? -- Meur Rienafroutre -- Comment hier ? On s’en fout d’hier ! On’va pas nous emmerder avec hier ! ...°Mais elle est conne cel'la d'quoi el’s'mêle° ! -- Melle Comtoulmonde -- Mais il faut bien des patrons pour vous permettre de gagner votre vie. -- Meur Rienafroutre -- Ouais j’chuis d’accord mais il faut qu’il paie bien et qu’on soit bien pour travailler, et puis qu’on a aussi des congés.. Merde ! -- Melle Comtoulmonde -- Qu’êtes vous prêt à faire pour travailler ? -- Meur Rienafroutre -- Ah ! tout.. yac’a m’donner du boulot, moi j’fais tous’con veut si’chui bien payer.. Merde ! -- Melle Comtoulmonde -- Que savez-vous faire ? -- Meur Rienafroutre -- Bennn.. Tout.. sch’uis prêt à faire tous’qu’on demandera à partir du moment ousschuis bien payer ! -- Melle Comtoulmonde -- Qu’entendez-vous par bien payer ? -- Meur Rienafroutre -- Ben bien payé c’est bien payé quoi ! ° Qu’est-ce qu’elle a’m faire chier avec ces questions à la con ! ° // Etc. .. Je clôtures là ma petite interview, il y aurai tant à dire à ce sujet qu’un livre à lui seul ne suffirait pas. Par contre dites à Meur Rienafroutre -- Tu as vu tu vas te mettre dans la merde ! -- Dans vingt pour cent des cas vous aurez une réponse du style -- Ouais j'sais j'ai pas l'temps j'sors ! et puis si c'est pou tout ' l'temps s'faire chier.. yaqu'à s'foute une balle dans la tête.. Merde ! on lui a rien demandé à lui... °. Ah ! j'oubliais qu’a cette caricature il faut ajouter «la faune amicale», toute cette caste de faux amis qui vous caressent le dos avec un poignard. Ce ramassis de gens qui investissent dans le relationnel, gens qui font de la pseudo diplomatie, c’est leur fond de commerce ! L’hypocrisie étant l’apanage de ces gens louches, une seconde nature, le fond de commerce qu’ils entretiennent ! Alternant la mégalomanie qui va couvrir leur coté pleutre et lâche et les pleurnicheries qui vont inspirer la pitié ! Le langage de ces nuls de la vraie communication est un lexique circoncis. Nous pouvons y trouver à toutes les pages, les mot diplomatie et négociations qui forment sournoisement le cœur de toutes leurs phrases. Phrases stéréotypées du «style» -- On va passer voir s’il va bien... Peut'être bien qu'il pourrait un jour.. on’sait jamais ? Peuh ! c'est beau chez toi t'sais on t'admire pour c'que... hi hi hi snif snif snif... t'as vu nous ? ... Et v'lan ! Un peu de poudre à con... Un tour de passe-passe et hop ! In the pocket ! -- Vous pouvez dire ce que vous voulez, essayer de faire comprendre, vous battre pour expliquer que la vie est tout sauf cela, ça ne sert à rien, ce fléau à gangrené notre société contemporaine, il n'y a rien à faire ! Il n'est pas plus sourd que celui qui n'a pas envie d'entendre et je marque bien la différence. Ce n'est pas qu'ils ne veuillent pas entendre, ils écoutent car il faut ménager.. on ne sait jamais ? Mais à ce moment là, ils n’en n’ont rien à faire ! Ils vous répondront plus tard.. quand il seront acculés et étranglés par leur laxisme antérieur ! Face à la mauvaise situation qu’ils ont en conscience crée pour assouvir leurs envies démagogiques, ces jouisseurs laxistes vous répondent. -- Qu’est-ce que je peut y faire maintenant que c'est fait ? -- Et ils attendront passivement, qu'une âme charitable ou les organismes sociaux, les " sorte de là. Le pire c’est que dans la plupart des cas, se sont des multirécidivistes, des boulets sociaux qui appauvrissent l’institution sociale qui nous doit d’être ferme à ce sujet ! Selon une expression ancienne.. leur mettre le nez dans leur propre merde ! Aider dans ces conditions c’est avaliser et accepter d'être une bonne poire "Bonne et Conne" à la fois ! Le fin du fin c’est qu’impunément ils se rebiffent.. et recommence de plus belle ! Nous entrons dans les conséquences du social démagogique ! En avalisant une fainéantise passée ou présente, vous donnez la priorité aux jouissances, c'est la cigale et la fourmi, tous les couillons savent faire cela, il est plus difficile de ne pas le faire ! De surcroît le négatif est comme la mauvaise herbe et l'ivraie, bien plus fertile et robuste que le bon grain ! Dans la bouche de ces «socioprofiteurs» vous entendrez souvent -- J'allais faire -- Ou j'allais le faire -- C'est vrai j'aurai du -- Tu aurais du laisser je l'aurais fait -- Je le ferais demain -- Ce sont les. ..Hier j'aurais fait. .. Les quand c'est pris c'est plus à prendre! Autant de baratin pour vous foutre les nerfs en pelotes face à des situations qui n'en finissent pas de pourrir, il faut éradiquer ! Devrons-nous subir encore longtemps ces barbiers, barbeurs et barbeuses du " demain on rase gratis ". Ras le bol des .. ya qu'a - y'aurai qu'a ... mais rarement des eurêka. Ce sont les tout est bon pour notre gueule pourvu que ce soit gratuit, ces gens au repentir aisé couleur du traitement cool de leurs servitudes. Intervenir ferait que la leçon de la vie ne porterait pas de fruits dans ces cas précis. En conclusion je pense que beaucoup de ces cas manque de coups d'pieds au cul alors y'en a marre! Il est d'autres terrains plus nécessiteux, il faut conserver nos moyens et nos énergies pour les concentrer dans ces directions. «Qui aime bien châtie bien ! ». Le non ! est bien souvent le poignard que l'on doit s'enfoncer dans le cœur, le plus dur dans la vie est de refuser le plus facile. Une saine pensée peut contrer la tentation de la faiblesse.
----------------Malédiction sociale----------------
La misère et la détresse.
«La négativité qui ne s’exprime pas au grand jour détruit dans l’ombre»
 Il est une différence fondamentale entre la misère et la détresse… . La misère est un événement fâcheux et subit, la détresse arrive souvent en aval de complaisances et de laxismes cérébraux se substituant à la combativité... «Nous avons les armes pour nous défendre. .. Mais elles sont lourdes, c’est dur. .. Il faut les porter ! etc. .. etc. . ». Ces excuses motivantes ont remplacées la satisfaction de l’acquis et du mérite par le labeur. Les valeurs du travail ont été remplacées par toutes sortes de facilités qui mènent à une forme de faillite cérébrale qu’est la détresse ! La détresse pourrait être un combat inconscient de la personne contre elle-même. A l’inverse le combat contre la misère est un combat contre des événements tragiques, malheureux et subit, l’adhésion des personnes concernées est pleine et entière, faisant front dans la simplicité pour un objectif commun, faire reculer la fatalité. Dans le cas de la détresse, la France est championne du monde dans le domaine. Avec l’assistanat forcené de l’ère Mitterrand, le socialiste bourgeois qui à fait les «nouveaux pauvres» (formule en vogue a l’époque), et les nouveaux riches,mille neuf cent quatre vingt trois mille neuf cent quatre vingt cinq, période qui a intronisé le capitalisme en France (reconnu par tous aujourd’hui). Prônant la lutte des classes qui opposent les citoyens et le monde du travail, les syndicats, s’appuyant sur le statut des fonctionnaires et le partit communiste, ont petit à petit enlever et décourager les envies et la bonne volonté des petits, la France d’en bas pour être « hip hop» dans le jargon nouveau, ça vient de sortir des urnes, ça remplace le politiquement correcte, ça ne sert à rien mais ça fait joli ? On en remet une couche, c’est dommageable mais ça marche ! Je ne peut m’empêcher de penser au proverbe chinois qui dit «quand le sage montre la lune du doigt, les imbéciles regardent le doigt». Triste réalité d’un monde qui ne sait réfléchir qu’avec son cul ou ses fringues et qui privilégie le pouvoir de la démerde à celui de la dignité ! En plongeant une catégorie sociale dans le fantasme du tout facile et du moi je m’arrange bien mieux. .. avec les organismes sociaux et les magouilles, qu’au travail, appuyer en cela par le marketing publicitaire outrancier qui enfonce un peu plus le clou en les provoquant ! La difficulté de ce combat contre la détresse, est la lutte permanente à leur cotés, mais contre les personnes concernées ! Tout passe par ces personnes du fait qu’elles doivent changer bien des mauvaises habitudes qu’elles ont prises. L’institution laxiste inspire le pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple, mais le faire simple ne doit pas être confondu avec le faire n’importe quoi, il a ses règles qui ne peuvent êtres transgressées que peu de temps sous peine de grandes complications. La mégalomanie, «l’égojalousie», l’agressivité, l’orgueil, la lâcheté et toutes autres formes sublimes de tares ont, inconsciemment protéger et entériner la détresse. Nous voici aux portes d’un univers de folie, la détresse, elle agit comme les cafards et les tares, plus vous les chassez et plus ils reviennent en nombre. La détresse c’est le «plus on pédale moins vite moins on avance plus fort». (mai 2002)
--------------------Délits d’initiés-------------------
Regard sur une éthique indigeste. Hier nous avions à faire à des menteurs, aujourd'hui de part notre "intelligence", ils sont passés mélomanes compositeurs de sons ? Le menteur est un individu reconnaissable qui se cache derrière son mensonge, le marketing flou* «markeding», est un menteur invisible qui se cache sous le voile de la complaisance communautaire qu'il entretient après l'avoir engendré. Ce sont les menteurs nouvelle génération, civilisation (civilisa'cons) impose. .. Nous les avons "formés" aux méandres des nuances et des subtilités communiquer c'est devenu comme par miracle. .. Raconter un maximum de "cravates" à l'autre pour lui faire gober nos merdes, c'est la nouvelle école. .. Le markeding est l'école de la supercherie déguisée intelligemment, il frappe à toutes les portes en matraquant ses messages codés «Super Man et Wonder Women». Ses disciples, en prêchant que nous serons les plus beaux les plus brillants et les meilleurs, ont réussit à appauvrir les esprits ! Aspirée par la recherche effrénée de jouissances matérielles, avalisée par une majorité, notre société gargarisée de beaux discours « pipos» a basculé au sous-sol des médiocrités philosophiques et philanthropiques ! Cette société médiocre trouvant toutes formes d'excuses pour pouvoir continuer à bénéficier des fruits de la jouissance plus au détriment des plus démunis intellectuellement, ma pensée va vers eux aujourd’hui. Nous étions arrivés, grâce à Freud, à lever, à des fins louables, un morceau du voile qui régit notre fonctionnement, actuellement fort de ces connaissances, le markeding, avec notre pernicieuse complicité, s'est permit, en les approfondissant à des fins lucratives, de galvauder ces connaissances en formant des personnes dont le métier sera de tromper, d'engendrer d'une manière fallacieuse le cas de conscience pour faire acheter à n'importe quel prix n'importe quoi, nous sophistiquons les recherches allant dans ce sens afin de pouvoir faire meilleure main mise sur les esprits contre la conscience même. Monsieur Freud je crois bien que si vous nous voyiez aujourd'hui vous devez avoir honte de cette scandaleuse utilisation de vos travaux qui ont permis la manipulation scandaleuse des masses, votre révolte serait probablement à la hauteur de vos découvertes. Aujourd'hui, au travers mes écrits, je dénonce l'avalisatison de toutes ces formes de supercheries déguisées en père plaisir qui reviendront probablement, demain, en père fouettard, sur nos enfants au travers leurs esprits saturés et blasés avant la lettre. (Christian 1994)
------------Le vécu. .. Réalité du rêve ?---------
Le rêve est l'arbre qui cache la forêt, la réalité est l'élément qui masque ou dévoile les vérités. Les rêves ne sont que des flashes, des apparitions de la vie qui font avancer les choses. La sagesse permet la cote mal taillée entre le rêve et la réalité, en définissant le raisonnable elle contribue à perpétuer la qualité du vécu. Je m'arrangerais pour ne pas vous parler en terme de morale, moralité ou moralisation, qui sont autant de codes tacites de l'honneur, à supposer que l'on sache encore ce que ce mot veuille dire. La médiatisation outrancière et le galvaudage de cette terminologie ont eu raison de son bien-fondé, elle a fait de celle-ci, l'emblème des emmerdeurs et empêcheurs de tourner en rond. J'essayerais simplement de faire passer une certaine forme que revêtent les qualités primaires qui font la déontologie de la vie. En opposant ces qualités primaires avec une certaine normalisation médiatique. But de mon livre, j'essayerais de faire ressortir une normalité relative qui pourrait faire une qualité de vécu. Le mieux étant l'ennemi du bien, tout doit voir ses limites, celles de la normalité ne sont-elles pas les frontières de l'anormalité, le seuil de tolérance définit son point de non retour, la personne civique permet ou non le franchissement de ce seuil qui s'avère être la porte de la vie des autres. Le comble n'a t'il pas été de faire, dans les esprits, du quotidien tranquille une inaccessibilité surréaliste. En les maquillant, l'être "inhumain" a falsifié les valeurs et notre société de consommation à fait exploser les barrières protégeant l'intégrité de chacun, en faisant par ce biais plonger le collectif social dans la cacophonique et le désordre, nous avons installé le trouble roi, anarchie qui fait l'inconditionnel psychologique individuelle en favorisant l'accroissement d'une société dont le tissu de base à été décousu par elle-même. (Christian 2002)
RÉCRÉATION POUR LA CRÉATION
-------Messages divins ?----------
Nous avons guéri la lèpre. Nous avons hérité de la tuberculose ! Nous avons guéri la tuberculose. Nous avons hérité du cancer ! Nous vainquons le cancer ! Nous nous faisons gagner par le sida ! Inexorablement la nature semble vouloir nous faire passer un message ?-- Face à moi tu n'es qu'un maillon de la grande chaîne de la vie terrestre, petit homme tu te comportes en enfant prodigue et mal élevé. Je t'ai fait différent, plus intelligent, mais aujourd'hui tu n'as rien compris ! Toi en qui j'avais mis ma confiance, malgré mes avertissements, malgré mes punitions tu t'obstines à vouloir être l'élément perturbateur et indiscipliné. Pour moi qui t'ai créé, tu n'es rien, mais je t'aime et voudrais te faire comprendre... Faute de le pouvoir, ce que j'ai mis tant de temps à construire, ne m'oblige point à tout démolir ! Face aux rouages de la vie. Nous ne serons jamais... Qu'une poussière dans l'engrenage! La vie semblable à l'élastique, plus nous tirons dessus, plus elle est mince.. (avril 1994)
---------------Les choses de la vie----------------
Pour faire un bon ordre, faut-il un grand désordre ? L'homme s'avère être le plus grand prédateur universel, dans l'eau dans l'air et dans la nature il exerce en dictateur le pouvoir privilégié que lui a confié la vie. A l'échelle du temps ou de l'espace est-ce une étape de l'évolution ? Avons nous pour mission de faire avancer, par la négative, l'ordre des choses ? Il est vrai qu'au fil du temps et des civilisations, l'homme en temps que matière et comportement mécanique semble s'être affiné, par contre au niveau de la vie immatérielle et du savoir-vivre, sa mutation semble prendre une tournure plutôt barbare, en effet plus nous avançons, plus aux yeux de la vie son comportement humain tend à ressembler à celui d'un éléphant dans un jeu de porcelaine, son impatience, son "Ego Mania" et sa mégalomanie galopante fait qu'il veut le beurre et l'argent du beurre, le toujours plus, toujours plus vite et "toujours mieux", ce qui fait basculer l'humanité... dans le toujours rien ? La vie est une entité universelle basée sur ses valeurs, elle évolue en recyclant, transformant et améliorant son "immature" de base, dans ce contexte l'homme lui servirait-il d'aiguillon, de stimulateur négatif ? L'Amour apparaît être l'alchimie qui fait l’incandescence de la vie, le fric et la baise, serais-ce les résidus et les cendres ? La vérole, la syphilis ou le sida ne serait-ce que des logiques de freinage de l'immoralité sexuelle ascendante ? Les maladies nouvelles et les cataclysmes, les garde-fou de la technologie ? Les guerres, les épidémies, des régulateurs démographique ? La contrainte physique n'est qu'une main mise sur le corps et la matière inerte, la contrainte psychologique est l'aliénation de l'esprit, le harcèlement est une contrainte «Psychophysique », un «Désamour » aliénant la vie individuelle. L'Amour est la flamme qui stimule l’énergie de chacun. La pureté amoureuse est une voie tracée, une brèche ouverte dans l’obscurantisme. L'objectivité permet de devenir hâté, apolitique ou neutre, en vous projetant dans sa synesthésie vous devenez alors comme la feuille morte soufflée par le vent. Nos qualités ou nos défauts sont bien souvent des éléments ignorés de nous, perçus et mis à jour par autrui, la maîtrise arrive à ce moment ou les ayant pris en conscience, nous leurs permettons de rester des qualités ou de le devenir. L'ignorance fait avancer le vécu, le trop savoir fait reculer la vie, le juste assez entretien le non-savoir qui attise la flamme du devenir. « Pareille à l'écureuil dans sa roue, la vie fait avancer le vécu, le vécu passe, la vie reste ».L'homme a tant embrouillé la vie qu'il à perdu le sens de l'altruisme qui est nécessaire à son équilibre physiologique.. Face à la vie, "cons" nous sommes arrivés, "cons" nous repartirons.. Par l'auto discipline on garantit l'ordre collectif, par l’ordre collectif on garantit la liberté individuelle. L’équilibre individuel est un climat, mélange à trois composantes de base, le Psychique élément immatériel, le Mécanique élément corporel, le Vécu charnière de transposition entre le contexte matériel et la position spirituelle, l’équilibre est dépendant du mouvement de l'ensemble des éléments de la vie. La sagesse est une voie d'accès à la maîtrise qui permet de canaliser par contrôle le mouvement en conférant à ce dernier une autonomie relative. La vie est le pouvoir suprême régissant l'ensemble des mutations et du mouvement global de la création. Le vécu est la matérialisation de l'impact psychologique engendrée par ces mouvements et mutations. En sachant faire la part des choses du vécu, nous rendrons justice aux choses de la vie. (1995). Nous tendons de plus en plus, par jeu, défis, profits ou nécessité, à contourner les lois, plus nous essayerons de les contourner, plus celles-ci seront lourdes compliquées et pesantes pour tous, le diktat des lois par dérives pernicieuses s'oppose à la tranquillité communautaire, aucune loi ne pourra faire la part des choses, seule la raison individuelle a pouvoir de la faire, le raisonnable restant le meilleur garant de nos droits. Sans le raisonnable la vie devient une vulgaire chose qui se négocie en dollars, au kilo ou au centimètre. Le déraisonnable laisse le champ libre aux manipulations immondes et avide de l’univers des apparences sonnantes et trébuchantes, univers qui n'autorise plus le petit peuple à disposer de lui-même, il le décime. .. Au nom du Pèze du Fric et des Malsains d'Esprits. .. Amène ! A vouloir trois fois plus, nous n'avons sut prendre les trois fois rien qui font la beauté de la vie, finirons-nous par être dans l'obligation d'accepter le moins que rien qui contrera l'incondition humaine, le 21ème siècle verrat il le règne de la pensée universelle, porte de sortie pour un monde déchiré entre son être et son paraître, entre sa vie et son vécu, la désolidarisation de la structure humaine fait son incondition profonde et saigne ce monde qui a perdu ses marques, un monde à la dérive. Qui sème l'imbécillité récolte les "emmerdes"! Demi-mesures, ennemies de la mesure. Attention aux demi-mesures, tout comme les grandes facilités, elles peuvent par accoutumance créer un "Leurrocerveau*, endormissement de la vigilance qui fait suite au mieux découlant de la facilité ou de la demie mesure, le cerveau risque avec le temps de classer les problèmes comme des faits résolus, ces derniers existants toujours, cela pourra avoir pour conséquences de les voir resurgir dans un moment inadéquate obligeant le "tir à vue", avec le handicap de n'avoir plus, ni le temps nécessaire à une saine réflexion, ni les données au plus vif de son esprit, créant la surprise qui risque de faire la précipitation engendrant l'erreur. Dans bien des cas il est préférable, quand on ne sait plus, de ne rien entreprendre plutôt que de mettre en place une demie mesure mal appropriée qui peut engendrer à terme un problème plus important que l'initial, je pense que dans ces cas ou il n'y a plus rien à faire, il est plus sage de ne rien faire ou plutôt de "faire le dos rond", la vie remet toujours les choses à la place qui doit être la leur, il faut alors veiller au grain et prendre son mal en patience. Une forme d'inconscience fait que par défoulement, palliatif de pressions subies, il nous arrive de "jouer" avec des valeurs fondamentales, pour cause, le train de vie par sa vitesse atténue la "Vigilance* en engendrant des réaction anormales . Ce qui aujourd'hui peut nous apparaître bénin, pourra être la clé de déclenchement de situations négatives dont l'exponentielle, par "Effet boomerang*, emprisonnera demain la conscience en créant les "Fixsens* de l'exclusion, du "rachat" des sensibilités blessées et des dignités froissées, ce climat déclenchant le processus de la "Réciprocité Négative* nous entrerons alors dans le cadre d'une "Réaction en chaîne* débouchant sur un collectif frustré qui aliènera la société dans un circuit infernal. Depuis quelque temps, la folie, mode du moralisme s'est emparée de nos énarques et des médias, je crois qu'ils finiront par se rendre compte que leurs querelles de pigeonnier, leurs petites guéguerres de cette décennie et la violence des informations, commencent à sérieusement gonfler le monde.... Et si nous parlions un peu d'Amour ? Ah ! j'oubliais, là où il y a le fric il ne peut y avoir d'Amour ! En cette fin de siècle nous entrons dans l'ère de la course à la tranquillité de l'esprit, elle devra s'opposer aux turpitudes de ce système en voie de déclin, qui fait que nous nous devons, pour être humain vis à vis d'autrui, être inhumain avec soi-même ? Pour sortir de cette infernale spirale, logique d'inversion négative, la solution ne peut passer que par l'éduc'ation des enfants, en rétablissant au travers d'eux le sens du devoir, les valeurs civiques et la beauté du geste cette philanthropie qui permet de donner et d'aimer sainement et non d'investir sournoisement ! La grande erreur humaine de ces décennies est d'avoir voulut investir "trop grand" dans une société morale.... Construite "trop petite" ? En apprenant à raisonner par le manque et non par l'acquis, l'homme a privilégié le pouvoir d'achat en oubliant l'Amour et le pouvoir de vivre ! (mars 1996). Où vais-je chercher tout cela ? Question qui m'est fréquemment posée et à laquelle je répondrais simplement. Dans le cœur de l'enfant naïf que je suis rester et qui cherche à comprendre cette "philosofric*, ce monde d'adultes compliqués dans lequel sans rien demander il a été projeté ! Les yeux hagards, éberlué cet enfant raconte son incompréhension d'un "Malperçu* "Malvécu* "Malreçu* ! De son mal de vivre, et moi l'adulte impuissant j'exorcise ma "Malbaise* qui me laisse pour seul devenir que l'horizon de ma vie future. Ne pensez pas que je sois compliqué, loin de là, mais le sujet que je traite lui est compliqué, je raconte ce que j'ai vu, peut-être es-ce vous et que vous ne vous connaissiez pas ou moi qui ne vous reconnais plus ? Une question similaire m'avait été posée il y a trente ans (à 18 ans) par des élèves de 3ème année de philo à qui je parlais. .. Beaucoup. .. Intrigués par mes propos ils me demandèrent : Que ressens-tu quand tu parles comme cela, j'avais répondu dans la foulée -- J'ai l'impression d'être un esprit à deux yeux, aujourd'hui je compléterais cette réponse en disant -- Comme l'artiste peintre marie ses couleurs aux formes, sans vraiment toujours savoir le pourquoi du comment, personnellement je transpose sur la palette des écrits, mes sensations en phrases. Il pleut des maux et des mots dans mon esprit et quand mon cœur sèche, tel une petite main, je les assemble, les coud les pique et les brode, sans savoir d'où me vient le fil et les aiguilles ? L'écriture réaliste doit essayer de passer en amont des esprits, au-dessus des clivages, pour les envelopper dans le linceul d'une pureté relative. Faisant passer des messages de la vie, les écrits réalistes ont pour mission d’essayer d'atteindre le cœur de la machine humaine pour apaiser son âme. Au travers de cette lecture j’espère avoir put vous apporter une sensation de mieux-être. Mon rêve pour vous plaire, serait qu’un jour, à force de travail, j’acquiers cette écriture qui se métamorphoserais en berceuse pour vous procurer la jouissance passive du repos de l'esprit ! C’est n’est qu’à ce moment que mon idéalisme secret deviendrais un rêve étincelant de tous ses feux multicolores. Autodidacte de la vie et écolier du vécu, mes pensées, quant elles apparaissent affirmations, ne sont que des affirmations servant à l'éclaircissement de mon doute. Humainement votre. .. PhiloGalop1995  
A suivre....   PhiloGalop 

Cliquez Top 100
.
BelStat : TOP 100 Sites FRANÇAIS


No. Site Web Inscrit Dernière visite Moy. PVs/jour* ↓ Moy. Vis/jour* ↓ Vues de Pages Stats

1. gazette94 10/08/2008 23/11/2009 2511 1020 1231091

2. Méthode pour gagner de largent 4/07/2009 21/11/2009 1956 882 273845

9. Belstat France - DEMO 2/12/2007 23/11/2009 236 92 125733


21.PhiloConfucius  22/11/2009 23/11/2009   67 32 067 Confucius


26. PhiloGalop 12/11/2009 23/11/2009 60 24 720 PhiloGalop


27. PhiloWord 22/11/2009 23/11/2009 25 24 025 Philogalop.


35. KicozPsy 09/11/2009 23/11/2009  31 16 439 Kicozpsy


36. kicozQuoi 09/11/2009 23/11/2009   19  14 272  Kikozquoi


37. PauvreQuidam 09/11/2009 23/11/2009 31  14 438    Quidam


41. ConfiDance 10/11/2009 23/11/2009   23 11 308 ConfIidences


42. KirouCoule 09/11/2009 23/11/2009   16  11  236 kiroucool
free counters
Free counters

BARRE STATISTIQUES


compteur gratuit